La crise entre les paysans et Tata Motors, tension que l'on croyait profondément enracinée (deux ans d'affrontements), semble finalement se dénouer positivement. Malgré l'absence de dirigeants du constructeur indien, le gouvernement du Bengale occidental et les opposants ont finalement trouvé un terrain d'entente. La production de la Tata Nano reprendra très rapidement.
Zapping Le Blogauto Essai DS3 E-Tense 2023
La crise entre les paysans et Tata Motors, tension que l'on croyait profondément enracinée (deux ans d'affrontements), semble finalement se dénouer positivement. Malgré l'absence de dirigeants du constructeur indien, le gouvernement du Bengale occidental et les opposants ont finalement trouvé un terrain d'entente. La production de la Tata Nano reprendra très rapidement.
En fin de semaine dernière, suite à l'arrêt de la production de la voiture de série la moins chère du monde, Ratan Tata, le grand patron de la firme éponyme, avait réitéré ses menaces de délocalisation devant l'intensification des manifestations. Le gouvernement du Bengale occidental prenait alors la décision de jouer le rôle de médiateur pour désamorcer la crise. Après un dialogue, forcément constructif, un accord a finalement été trouvé.
Des paysans vont récupérer certaines parties de leurs terres. D'autres être indemnisés. Après 350 millions de dollars d'investissements, il aurait été surprenant que le constructeur automobile et les autorités politiques locales (acteur au niveau des subventions de l'installation du site industriel) ne parviennent pas s'entendre avec les paysans...
La crise entre les paysans et Tata Motors, tension que l'on croyait profondément enracinée (deux ans d'affrontements), semble finalement se dénouer positivement. Malgré l'absence de dirigeants du constructeur indien, le gouvernement du Bengale occidental et les opposants ont finalement trouvé un terrain d'entente. La production de la Tata Nano reprendra très rapidement.