Parmi les préparateurs sur base Porsche, les créations du suisse Sportec se situent au sommet, esthétiquement parlant. Leur discrétion est bien loin des réalisations tape-à-lil de ses homologues allemands. Dernière des sportives de Zuffenhausen à avoir reçu le traitement helvète : la GT2. Elle se mue alors en SP750.
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Parmi les préparateurs sur base Porsche, les créations du suisse Sportec se situent au sommet, esthétiquement parlant. Leur discrétion est bien loin des réalisations tape-à-lil de ses homologues allemands. Dernière des sportives de Zuffenhausen à avoir reçu le traitement helvète : la GT2. Elle se mue alors en SP750.
Comme son nom lindique, la puissance du moteur passe à 750ch, ce qui autorise un 0 à 100 en 3,2s et une vitesse de pointe supérieure à 350km/h. Cette SP750 fait suite aux SP600 coupé et cabriolet, basées sur les 911 turbo correspondantes.
Parmi les préparateurs sur base Porsche, les créations du suisse Sportec se situent au sommet, esthétiquement parlant. Leur discrétion est bien loin des réalisations tape-à-lil de ses homologues allemands. Dernière des sportives de Zuffenhausen à avoir reçu le traitement helvète : la GT2. Elle se mue alors en SP750.