On ne recommencera pas le topo sur la conjoncture actuelle aux USA notamment marquée par un segment SUV/4X4 dont la perte de vitesse en terme de commercialisation dunités se confirme (empire) au fil des mois. On ne recouchera pas non plus par écrit la situation financière périlleuse de General Motors alors que le constructeur vient de publier les chiffres du deuxième trimestre synonymes de troisième plus important recul financier dans l'histoire du groupe. GM étudie donc diverses pistes pour faire des économies et renouer avec la rentabilité. La cession de Hummer désormais officielle ouvre la voie à moult spéculations sur son acheteur potentiel. Ultime pas de danse avec l'entrée du russe GAZ au bal des prétendants.
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On ne recommencera pas le topo sur la conjoncture actuelle aux USA notamment marquée par un segment SUV/4X4 dont la perte de vitesse en terme de commercialisation dunités se confirme (empire) au fil des mois. On ne recouchera pas non plus par écrit la situation financière périlleuse de General Motors alors que le constructeur vient de publier les chiffres du deuxième trimestre synonymes de troisième plus important recul financier dans l'histoire du groupe. GM étudie donc diverses pistes pour faire des économies et renouer avec la rentabilité. La cession de Hummer désormais officielle ouvre la voie à moult spéculations sur son acheteur potentiel. Ultime pas de danse avec l'entrée du russe GAZ au bal des prétendants.
Les Indiens Tata et Mahindra & Mahindra, le Chinois ChangFeng et maintenant le Russe GAZ. Ca se bouscule au portillon General Motors pour un éventuel rachat de la marque spécialiste "ès SUVS massifs" Hummer. Second constructeur automobile russe derrière AvtoVAZ, GAZ (également connu sous son ancienne identité AvtoGAZ), produit aussi bien des voitures que des voiturettes, des camions, des bus et du matériel militaire sous la houlette de l'oligarque Oleg Deripaska, un proche du Kremlin et de Poutine.
Selon le quotidien britannique The Times, des émissaires de General Motors se seraient rendus la semaine dernière au siège de Gaz à Nijni Novgorod pour entamer des discussions avec leurs homologues russes sur la vente de Hummer. Aucune information complémentaire n'a filtré sur la teneur des échanges. Reste qu'en Russie (tout comme en Asie), au contraire des USA par exemple, les SUVs se vendent plutôt bien ce qui pourrait laisser augurer d'un débouché positif pour le constructeur russe.
GAZ et General Motors pourraient du reste très bien étendre leur collaboration quand on sait que le Russe cherche un partenaire pour créer une coentreprise (un milliard de dollars et 300 000 unités annuelles) afin de produire un véhicule, badgé Volga, concurrent direct de la Logan du tandem Renault/AvtoVAZ. GAZ ranimera-t-il la flamme Hummer sur le sol russe ?
On ne recommencera pas le topo sur la conjoncture actuelle aux USA notamment marquée par un segment SUV/4X4 dont la perte de vitesse en terme de commercialisation dunités se confirme (empire) au fil des mois. On ne recouchera pas non plus par écrit la situation financière périlleuse de General Motors alors que le constructeur vient de publier les chiffres du deuxième trimestre synonymes de troisième plus important recul financier dans l'histoire du groupe. GM étudie donc diverses pistes pour faire des économies et renouer avec la rentabilité. La cession de Hummer désormais officielle ouvre la voie à moult spéculations sur son acheteur potentiel. Ultime pas de danse avec l'entrée du russe GAZ au bal des prétendants.
