Oscillant entre Lotus Seven, Donkervoort et un soupçon de Caterham, l'IFR Aspid, supercar hispano-anglophone de par ses racines et propriétaire actuel, retrouve les colonnes du blogauto après un premier topo de présentation (que je vous invite du reste à relire en cliquant ici). Au menu de ce billet une poignée de détails supplémentaires ains que deux clichés permettant de mieux appréhender le style de la véloce sportive.
Zapping Le Blogauto Essai de l'Abarth 500E
Oscillant entre Lotus Seven, Donkervoort et un soupçon de Caterham, l'IFR Aspid, supercar hispano-anglophone de par ses racines et propriétaire actuel, retrouve les colonnes du blogauto après un premier topo de présentation (que je vous invite du reste à relire en cliquant ici). Au menu de ce billet une poignée de détails supplémentaires ains que deux clichés permettant de mieux appréhender le style de la véloce sportive.
Voilà donc la supercar anglo-ibérique de retour. Une "barquette" sportive propulsée par un organe atmosphérique 2.0l de 270 chevaux ou, avec l'ajout d'un turbo pouvant atteindre les 400 équidés. La carrosserie en fibre de carbone et le châssis en aluminium confèrent à l'Aspid un poids plutôt léger établi à 700 kilogrammes. Si la vitesse limitée à 250km/h n'atteint pas des "sommets" de sportivité absolue, le 0 à 100km/h en 2.8s et le 0 à 160km/h en 5.9s suffisent à vivre son lot de sensations fortes. Heureusement le système de frein à double disque facilitera la tâche de son conducteur pour faire délicatement redescendre l'aiguille...
La carrosserie peut également subir quelques transformations intéressantes comme la possibilité de retirer les portes et supprimer le toit (pas de précisions techniques). La voilà donc en cabriolet potentiel ! IFR Automotive permettra ausi à ses riches clients (l'Aspid sera commercialisée à 95 000) de choisir le coloris de la carrosserie ainsi que quelques équipements intérieurs. Nabigation satellite par GPS, écran tactile, connectique Bluetooth, Wifi, inserts en fibre de carbone finiront de convaincre les acheteurs qui ne seront pas plus de 50 à repartir au volant de l'Aspid. Tenté ?
Oscillant entre Lotus Seven, Donkervoort et un soupçon de Caterham, l'IFR Aspid, supercar hispano-anglophone de par ses racines et propriétaire actuel, retrouve les colonnes du blogauto après un premier topo de présentation (que je vous invite du reste à relire en cliquant ici). Au menu de ce billet une poignée de détails supplémentaires ains que deux clichés permettant de mieux appréhender le style de la véloce sportive.