Depuis la fin de l'année passée, date du lancement de la Dacia Sandero sur les marchés brésilien et argentin, les chiffres enregistrés quant à sa commercialisation dépassent les attentes des responsables locaux du tandem Renault/Dacia. De quoi les convaincre, très logiquement après peu de palabres, de tenter l'aventure sur les marchés andins tout comme au Mexique.
Zapping Le Blogauto Renault Rafale: nos premières impressions
Depuis la fin de l'année passée, date du lancement de la Dacia Sandero sur les marchés brésilien et argentin, les chiffres enregistrés quant à sa commercialisation dépassent les attentes des responsables locaux du tandem Renault/Dacia. De quoi les convaincre, très logiquement après peu de palabres, de tenter l'aventure sur les marchés andins tout comme au Mexique.
Le groupe débutera par la Colombie, commercialisation dans le réseau de la marque française, son introduction sur se secteur géographique. Un choix logique : les Sandero produites pour ces différents marchés sortiront en effet de l'usine colombienne de Medellin à un rythme annuel de 30 000 unités. La production destinée au Brésil et à l'Argentive provenant pour sa part toujours du site de Curitiba.
Une inconnue subsiste encore à l'heure actuelle sur le nom choisi pour commercialiser la Sandero au Mexique. Là bas en effet on trouve déjà des Logan vendues sous le badge Nissan avec l'identité Aprio. Les autres marchés concernés par cette future arrivée, premiers débarquements avant la fin de l'année civile, sont le Venezuela, le Chili, l'Equateur et le Perou.
Depuis la fin de l'année passée, date du lancement de la Dacia Sandero sur les marchés brésilien et argentin, les chiffres enregistrés quant à sa commercialisation dépassent les attentes des responsables locaux du tandem Renault/Dacia. De quoi les convaincre, très logiquement après peu de palabres, de tenter l'aventure sur les marchés andins tout comme au Mexique.