par La rédaction

La Ferrari California version naturelle

Dans l'univers feutré des supercars, la Ferrari California, dernière venue à enrichir les rangs de la famile au Cavallino Rampante, n'a pas manqué son entrée, forcément remarquée (et tout autant remarquable pour certains d'entre vous), de par une ligne générale pour le moins bluffante en rapport avec son statut déconcertant inédit de coupé cabriolet. Mademoiselle California jusqu'alors visible à travers l'univers aseptisé des studios prend la clef des champs et s'aventure à l'air libre grâce aux journalistes allemands d'Autobild visiblement les premiers à approcher d'aussi près la belle. En ressort alors une série de clichés ou tout un chacun pourra exprimer fascination ou déception.

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Dans l'univers feutré des supercars, la Ferrari California, dernière venue à enrichir les rangs de la famile au Cavallino Rampante, n'a pas manqué son entrée, forcément remarquée (et tout autant remarquable pour certains d'entre vous), de par une ligne générale pour le moins bluffante en rapport avec son statut déconcertant inédit de coupé cabriolet. Mademoiselle California jusqu'alors visible à travers l'univers aseptisé des studios prend la clef des champs et s'aventure à l'air libre grâce aux journalistes allemands d'Autobild visiblement les premiers à approcher d'aussi près la belle. En ressort alors une série de clichés ou tout un chacun pourra exprimer fascination ou déception.

La revue germanique Autobild peut donc s'enorgueillir d'avoir eu la primeur de flirter avec la Ferrari California. Débarque alors une galerie de photographies extérieures et intérieures montrant le coupé cabriolet sous un air différent. On apprécie alors autrement sa ligne musculeuse et sportive, ses visions habillée et déshabillée, son organe V8 4.3l  de 460 chevaux (0 à 100km/h en moins de quatre secondes), les détails sur les collecteurs ou encore son intérieur.

Justement quid de cet endroit particulier ? Au premier coup d'oeil le +2 et ses places d'une étroitesse confirmée ouvre plus la porte à de petits bagages qu'à des êtres constitués de chairs et d'os. L'environnement conducteur et passager avant (cuir, inserts alus, etc...) mêle sportivité et luxe avec équipement technologique high-tech quant aux divers instruments de bord.

L'on pourrait a contrario regretter, ou alors moins apprécier (là encore les goûts et les couleurs), la superposition des échappements ou une "modeste" ligne aérodynamique. Comme l'écrivait Cédric, la Ferrari California a quelque chose de déroutant. En effet. Que l'on se rassure en cas de besoin, encore quelques longues semaines avant de la dévorer live au Mondial de l'Automobile de Paris. Suffisant pour arrêter son sentiment ?

A lire également. Une nouvelle ferrari est née et La Ferrari California en livrée bleu azur et au sec.

Source : Carscoop.

Crédit photos : Autobild.

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Pour résumer

Dans l'univers feutré des supercars, la Ferrari California, dernière venue à enrichir les rangs de la famile au Cavallino Rampante, n'a pas manqué son entrée, forcément remarquée (et tout autant remarquable pour certains d'entre vous), de par une ligne générale pour le moins bluffante en rapport avec son statut déconcertant inédit de coupé cabriolet. Mademoiselle California jusqu'alors visible à travers l'univers aseptisé des studios prend la clef des champs et s'aventure à l'air libre grâce aux journalistes allemands d'Autobild visiblement les premiers à approcher d'aussi près la belle. En ressort alors une série de clichés ou tout un chacun pourra exprimer fascination ou déception.

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