On le constate au fil des mois et au terme de chacun des bilans de commercialisation. Aux USA, la tendance amorcée vers le downsizing se poursuit. Et s'amplifie. A ceci plusieurs facteurs conjoncturels en guise d'explications simples : une prise de conscience écologique, un tarif du pétrole peu incitatif à l'achat de grosses cylindrées, une économie sur la pédale de frein et donc un budget automobile logiquement revu à la baisse. General Motors a donc pris l'option, savamment calculée bien sûr, d'axer son développement industriel dans la partie moteur en accentuant la production de V6 (un bloc loin d'être anémique que l'on se rassure pour les clients américains !) au détriment des plus gourmands et chers V8.
Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)
On le constate au fil des mois et au terme de chacun des bilans de commercialisation. Aux USA, la tendance amorcée vers le downsizing se poursuit. Et s'amplifie. A ceci plusieurs facteurs conjoncturels en guise d'explications simples : une prise de conscience écologique, un tarif du pétrole peu incitatif à l'achat de grosses cylindrées, une économie sur la pédale de frein et donc un budget automobile logiquement revu à la baisse. General Motors a donc pris l'option, savamment calculée bien sûr, d'axer son développement industriel dans la partie moteur en accentuant la production de V6 (un bloc loin d'être anémique que l'on se rassure pour les clients américains !) au détriment des plus gourmands et chers V8.
General Motors augmente sa production de moteurs V6 en se basant sur les vérités chiffrées du marché. Les cylindrées moins importantes ne cessent de grimper en terme de vente alors que les plus grosses s'essoufflent sans pour autant déposer les armes. Le site GM de Ramos Arizpe, au Mexique, verra donc sa production d'organes V6 3.6 substantiellement prendre du volume avec 350 000 unités de plus par an, soit alors un total de 940 000 unités.
La prochaine génération de moteurs HFV6 devrait en outre bénéficier d'une économie de consommation, en disposant d'une augmentation de puissance de l'ordre de 6%, sans que l'on sache réellement si GM en change la cylindrée. Affaire à suivre donc. Tout comme la vente de la marque Hummer évoquée ici et là à première vue toujours dans les tuyaux et bientôt éclaircie par les dirigeants du groupe.
On le constate au fil des mois et au terme de chacun des bilans de commercialisation. Aux USA, la tendance amorcée vers le downsizing se poursuit. Et s'amplifie. A ceci plusieurs facteurs conjoncturels en guise d'explications simples : une prise de conscience écologique, un tarif du pétrole peu incitatif à l'achat de grosses cylindrées, une économie sur la pédale de frein et donc un budget automobile logiquement revu à la baisse. General Motors a donc pris l'option, savamment calculée bien sûr, d'axer son développement industriel dans la partie moteur en accentuant la production de V6 (un bloc loin d'être anémique que l'on se rassure pour les clients américains !) au détriment des plus gourmands et chers V8.