On dirait un Land' et pourtant, il n'a rien d'Anglais et ce n'est pas un Santana Espagnole. En plus, il n'a que deux roues motrices. Certain doivent déjà se dire: "Encore un clone made in China!" Et non, ils n'y sont pour rien (pour une fois): cet ancêtre du Yeti fut réalisé par les Tchécoslovaques uniquement pour les Néozélandais.
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On dirait un Land' et pourtant, il n'a rien d'Anglais et ce n'est pas un Santana Espagnole. En plus, il n'a que deux roues motrices. Certain doivent déjà se dire: "Encore un clone made in China!" Et non, ils n'y sont pour rien (pour une fois): cet ancêtre du Yeti fut réalisé par les Tchécoslovaques uniquement pour les Néozélandais.
Dans les années 50, le gouvernement Néozélandais décide de surtaxer les voitures importées. Phil Andrew propose à Skoda de concevoir un véhicule rustique, en aluminium, venue à un prix plancher. L'Octavia Combi sert de base.
L'idée, c'est que le Trekka est expédiée en kit de Tchécoslovaquie (pour échapper aux taxes) et assemblé par Motor Lines, la société d'Andrew. Finalement, c'est une autre société qui assemblera les Trekka: la Motor Holding de Noel Turner. Les premiers Trekka débarquent à Auckland en 1966.
Le Trekka reprend le 1,1l (53ch puis 62ch) à propulsion de l'Octavia Combi. Il est disponible en pick-up, break et cabriolet. En 1971, Skoda arrête l'Octavia Combi et les taxes néozélandaises disparaissent. Alors, en 1973, après 2500 unités, la première voiture néozélandaise quitte la scène.
On dirait un Land' et pourtant, il n'a rien d'Anglais et ce n'est pas un Santana Espagnole. En plus, il n'a que deux roues motrices. Certain doivent déjà se dire: "Encore un clone made in China!" Et non, ils n'y sont pour rien (pour une fois): cet ancêtre du Yeti fut réalisé par les Tchécoslovaques uniquement pour les Néozélandais.