L'Iranien Abdolhadi Mirhejazi, diplômé en agriculture, inventeur multifacettes, a a déposé un brevet sous le nom de Naturmobil après vingt-six mois de travail en recherche et développement dans son garage de Téhéran. A titre personnel, jamais je n'avais eu vent de ce doux dingue, aucune connotation péjorative, et de son invention présentée par notre homme comme "révolutionnaire". Retour primaire aux sources ou véritable conscience écologico-environnementale, il promeut l'utilisation du cheval comme moyen moderne de déplacement. Ah oui basiquement sur la selle ? Non. Tracté simplement par l'animal ? Non plus...
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L'Iranien Abdolhadi Mirhejazi, diplômé en agriculture, inventeur multifacettes, a a déposé un brevet sous le nom de Naturmobil après vingt-six mois de travail en recherche et développement dans son garage de Téhéran. A titre personnel, jamais je n'avais eu vent de ce doux dingue, aucune connotation péjorative, et de son invention présentée par notre homme comme "révolutionnaire". Retour primaire aux sources ou véritable conscience écologico-environnementale, il promeut l'utilisation du cheval comme moyen moderne de déplacement. Ah oui basiquement sur la selle ? Non. Tracté simplement par l'animal ? Non plus...
D'avance mes excuses si l'information n'est pas de première fraîcheur. J'avoue être tombé nez à nez avec un article récemment sans avoir pris le soin de vérifier la nouveauté en question du principe (honte sur moi !). J'espère donc que vous ne m'en tiendrez pas trop rigueur si cela fait X temps que le sujet circule !
De circulation on y revient justement avec ce véhicule Naturmobil. Le principe ? Une carrosserie en polycarbonate, six roues et un gentil cheval placé dans la zone de derrière. Oui, et ? Le meilleur ami d'Abdolhadi Mirhejazi marche sur un tapis en fibre de verre produisant de l'énergie transmise à un moteur électrique qui meut (on parle d'un cheval, je le rappelle) la carcasse de 300 kilogrammes dont on peut à volonté aussi bien ouvrir les flancs que décapoter la partie supérieure. La vitesse de croisière atteint les 20km/h quand en pointe elle flirte avec les 80km/h. Le surplus d'énergie est stocké et permet "d'apporter de la lumière ou pourrait alimenter deux écrans publicitaires LCD installés sur les flancs du véhicule". De la pub à la force du jarret comme on dit.
Avant que ne s'abatte les foudres des défenseurs des animaux, l'homme précise : "Deux capteurs enregistrent les battements du cur et la température du cheval. Lorsque celle-ci devient trop importante, le tapis de met automatiquement hors-circuit. Le cheval peut donc se reposer avant de rependre sa marche..." Prochaine étape ? Un déplacement à Pittsburgh en compagnie de son directeur marketing. Abdolhadi Mirhejazi rêve en effet de convaincre des investisseurs de développer son projet. Vous aurez noté l'absence d'une quelconque allusion aux excréments de l'animal. Et bien oui tout a été prévu avec une poubelle spéciale à disposition. Sur ce je m'éclipse au triple galop. J'ai une calèche à prendre...
L'Iranien Abdolhadi Mirhejazi, diplômé en agriculture, inventeur multifacettes, a a déposé un brevet sous le nom de Naturmobil après vingt-six mois de travail en recherche et développement dans son garage de Téhéran. A titre personnel, jamais je n'avais eu vent de ce doux dingue, aucune connotation péjorative, et de son invention présentée par notre homme comme "révolutionnaire". Retour primaire aux sources ou véritable conscience écologico-environnementale, il promeut l'utilisation du cheval comme moyen moderne de déplacement. Ah oui basiquement sur la selle ? Non. Tracté simplement par l'animal ? Non plus...