Le plan Obama pour sauver l'industrie automobile US
Depuis le début de la campagne, Barack Obama s'attire les foudres des constructeurs américains par ses remarques désobligeantes et ses appels incessants pour la production de véhicules plus économiques. Devancé sur ce sujet par les deux autres candidats, il a tenté de remettre les choses en place lors de sa première visite dans le Michigan depuis le début de la campagne.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Depuis le début de la campagne, Barack Obama s'attire les foudres des constructeurs américains par ses remarques désobligeantes et ses appels incessants pour la production de véhicules plus économiques. Devancé sur ce sujet par les deux autres candidats, il a tenté de remettre les choses en place lors de sa première visite dans le Michigan depuis le début de la campagne.
Après avoir dédaigné les primaires organisées dans l'état, mais annulées pour d'obscures raisons de procédure, Barack Obama fait le voyage jusqu'à Détroit et y dévoile son plan pour venir en aide aux constructeurs : dédier une partie du budget de 150 milliards sur 10 ans pour aider les constructeurs a améliorer leur outil de production (améliorer = rendre plus écologique), utiliser une partie d'un fonds de 10 milliards pour participer au développement de véhicules plus propres, doubler le budget du programme Manufacturing Extension Partnership, maintes fois attaqué par l'administration Bush. Ce voyage fut aussi l'occasion pour Obama de rallier à son camp son ancien adversaire John Edwards, natif de l'état du Michigan
Si Obama est à la traîne chez les dirigeants des constructeurs, qui selon les sondages votent à 70% pour McCain, il ne l'est au final pas auprès des électeurs, qui voient aussi dans ses déclarations une volonté de changement. Le Michigan est un état plus traditionnellement démocrate, et Barak Obama y a récolté 1.59 millions de dollars pour sa campagne, contre 1.56 à McCain.
Depuis le début de la campagne, Barack Obama s'attire les foudres des constructeurs américains par ses remarques désobligeantes et ses appels incessants pour la production de véhicules plus économiques. Devancé sur ce sujet par les deux autres candidats, il a tenté de remettre les choses en place lors de sa première visite dans le Michigan depuis le début de la campagne.