Le fantasmagorique et délirant petit constructeur japonais, dont les modèles n'ont pas laissé insensible l'une de nos très fines plumes lors du dernier salon de Tokyo, envisage de voir plus loin que les marchés sur lesquels sont commercialisés ses supercars.
Le fantasmagorique et délirant petit constructeur japonais, dont les modèles n'ont pas laissé insensible l'une de nos très fines plumes lors du dernier salon de Tokyo, envisage de voir plus loin que les marchés sur lesquels sont commercialisés ses supercars.
Les désirs d'expansion de Mitsuoka viennent finalement de loin. Précisément en parallèle avec un riche amoureux de l'Orochi résidant au Qatar. Notre homme, on vous l'a dit dingue de ce modèle, commande une unité avec conduite à gauche, alors que l'Orochi est fabriqué avec le volant à droite. Une demande qui fait tilt dans l'esprit des responsables de la marque de volonté. Et si l'on exportait sur plus de marchés...
Mitsuoka vise désormais de vendre ses modèles en Jordanie, au Qatar, en Corée du Sud et en Thailande en sus de ses débouchés actuels (Japon bien sûr et 70 unités vendues en 2007, Hong-Kong, Malaisie, Singapour et Emirats Arabes Unis).
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Le fantasmagorique et délirant petit constructeur japonais, dont les modèles n'ont pas laissé insensible l'une de nos très fines plumes lors du dernier salon de Tokyo, envisage de voir plus loin que les marchés sur lesquels sont commercialisés ses supercars.
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