Le retour du serpent de mer: Renault voudrait produire en Chine
La devise de Carlos Ghosn doit être: "Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis." Ainsi, en 2007, il jurait qu'il préférait une place au soleil en Inde à un strapontin en Chine. Renault n'étais plus présent qu'à l'import, de manière confidentielle. Mais même un "grand stratège" comme Ghosn ne pouvait rester insensible au potentiel Chinois.
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La devise de Carlos Ghosn doit être: "Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis." Ainsi, en 2007, il jurait qu'il préférait une place au soleil en Inde à un strapontin en Chine. Renault n'étais plus présent qu'à l'import, de manière confidentielle. Mais même un "grand stratège" comme Ghosn ne pouvait rester insensible au potentiel Chinois.
Résumé des épisodes précédents: en 2005, Louis Schweitzer (alors PDG) voulait s'implanter en Chine, pour y produire des Megane et des Logan. Renault ne pouvant être propriétaire à 100% d'un constructeur Chinois, il lui faut un partenaire local. Pékin l'aiguille vers DongFeng (allié notamment de Nissan et PSA.) Justement, DongFeng a déjà tant de joint-ventures qu'il n'est pas pressé d'en avoir une nouvelle. De plus, les autorités veulent en profiter pour industrialiser le centre du pays, alors que Renault souhaitait évidemment être proche des grandes agglomérations (où il y a de la main-d'uvre qualifiée et des fournisseurs.)
Carlos Ghosn prend ensuite les rennes de Renault et devant le peu d'avancées du dossier, il enterre le projet.
Pour autant, aujourd'hui, Ghosn aurait commissionné une nouvelle étude sur l'implantation de Renault en Chine. Renault serait également sur le point de signer un accord préliminaire avec DongFeng. A terme, Renault souhaiterait produire 100 voitures par jour en Chine.
La devise de Carlos Ghosn doit être: "Il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis." Ainsi, en 2007, il jurait qu'il préférait une place au soleil en Inde à un strapontin en Chine. Renault n'étais plus présent qu'à l'import, de manière confidentielle. Mais même un "grand stratège" comme Ghosn ne pouvait rester insensible au potentiel Chinois.