La moisson de 2007 fut particulièrement réussie - bien quun peu mouvementée - pour Jean Todt et son écurie fétiche avec les titres pilote et constructeur en poche. Les essais hivernaux ne laissaient rien transparaître de lhécatombe quallait être ce fameux Grand Prix de Melbourne, où les deux monoplaces rouges abandonnaient, la seule « consolation » étant ce point marqué par Raikkonen après limmobilisation de sa monoplace. Deux jours seulement après cette brutale entrée en matière, Ferrari vient dannoncer le départ de Jean Todt du poste dadministrateur délégué quil occupait au sein de la marque au cheval cabré.
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La moisson de 2007 fut particulièrement réussie - bien quun peu mouvementée - pour Jean Todt et son écurie fétiche avec les titres pilote et constructeur en poche. Les essais hivernaux ne laissaient rien transparaître de lhécatombe quallait être ce fameux Grand Prix de Melbourne, où les deux monoplaces rouges abandonnaient, la seule « consolation » étant ce point marqué par Raikkonen après limmobilisation de sa monoplace. Deux jours seulement après cette brutale entrée en matière, Ferrari vient dannoncer le départ de Jean Todt du poste dadministrateur délégué quil occupait au sein de la marque au cheval cabré.
Coïncidence? « Cétait prévu, je devais garder ce poste jusquà la fin de mon mandat et me trouver un successeur pour la direction de la gestion sportive » déclarait Jean Todt. « Cest désormais chose faite et maintenant jaurai beaucoup plus de temps pour moi et ma famille ».
Mais Jean Todt ne quitte pas Ferrari pour autant. Il reste membre de son conseil dadministration et pourra être chargé de mission par la marque italienne quant aux activité grand tourisme et à la gestion sportive de la marque.
Jean Todt était le directeur sportif de Ferrari jusquà la fin 2007 avant de se concentrer sur ce poste dadministrateur délégué. Lépoque Schumacher/Todt/Brawn paraît encore plus lointaine et la page est définitivement tournée. Il reste du pain sur la planche à la nouvelle équipe en place pour être aussi efficace que leurs prédécesseurs, mais gageons que la Scuderia Ferrari se remettra vite de ce cauchemar australien.
La moisson de 2007 fut particulièrement réussie - bien quun peu mouvementée - pour Jean Todt et son écurie fétiche avec les titres pilote et constructeur en poche. Les essais hivernaux ne laissaient rien transparaître de lhécatombe quallait être ce fameux Grand Prix de Melbourne, où les deux monoplaces rouges abandonnaient, la seule « consolation » étant ce point marqué par Raikkonen après limmobilisation de sa monoplace. Deux jours seulement après cette brutale entrée en matière, Ferrari vient dannoncer le départ de Jean Todt du poste dadministrateur délégué quil occupait au sein de la marque au cheval cabré.
