Si le salon de Genève sert comme chaque année de vitrine à la haute couture automobile et ses réalisations tant performantes qu'archi-luxueuses, du point de vue industriel ces productions sont anecdotiques vis-à-vis de la révolution de l'année dans le domaine du prêt à porter, la Tata Nano et ses 1700 euros. Celle-ci promet de mettre, pour commencer, les Indiens sur les routes avant de se lancer dans une aventure mondiale, et le constructeur a décidé dans un premier temps de venir bravement soumettre sa création qui redéfinit la notion de low-cost au regard sans concession des observateurs européens.
Zapping Le Blogauto La Porsche Panamera en avant premiere
Si le salon de Genève sert comme chaque année de vitrine à la haute couture automobile et ses réalisations tant performantes qu'archi-luxueuses, du point de vue industriel ces productions sont anecdotiques vis-à-vis de la révolution de l'année dans le domaine du prêt à porter, la Tata Nano et ses 1700 euros. Celle-ci promet de mettre, pour commencer, les Indiens sur les routes avant de se lancer dans une aventure mondiale, et le constructeur a décidé dans un premier temps de venir bravement soumettre sa création qui redéfinit la notion de low-cost au regard sans concession des observateurs européens.
De l'avis de ceux qui l'ont approchée, elle s'en sort plutôt bien, à la réserve près que Tata n'était pas trop chaud pour montrer l'intérieur de trop près. Ce sont deux déclinaisons différentes qui sont présentes à Genève, la version de base minimaliste et une voiture plus luxueuse, osons le terme, qui préfigure une auto plus adaptée a la perception européenne : double airbag, pare-chocs peints, on est nettement plus près de la petite citadine telle qu'on la connaît, avec 5 places et 4 portes dans 3,10 mètres. Cote motorisation, par contre, le 3 cylindre 600 cm3 essence rappelle ce qu'on trouve dans les kei cars japonaises, en plus rustique et, avec ses 5l aux 100 km, ne fera pas peur aux ultra-économiques européennes. La Nano paye sur ce point son prix de revient serré, mais Tata n'a pas dit son dernier mot en la matière. Le futur de l'automobile, ou du moins un de ses aspects, est en marche devant nos yeux.
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Si le salon de Genève sert comme chaque année de vitrine à la haute couture automobile et ses réalisations tant performantes qu'archi-luxueuses, du point de vue industriel ces productions sont anecdotiques vis-à-vis de la révolution de l'année dans le domaine du prêt à porter, la Tata Nano et ses 1700 euros. Celle-ci promet de mettre, pour commencer, les Indiens sur les routes avant de se lancer dans une aventure mondiale, et le constructeur a décidé dans un premier temps de venir bravement soumettre sa création qui redéfinit la notion de low-cost au regard sans concession des observateurs européens.