Lage dor jaune et bleu est bel et bien révolu : Il y a encore deux ans de ça, les deux monoplaces de Fernando Alonso et de son coéquipier de lépoque Giancarlo Fisichella ne pouvaient être inquiétées que par les Ferrari. Puis Alonso est parti, ING est venu, les couleurs ont changé et les résultats aussi. Malgré toute la bonne volonté de Heikki Kovalainen et la très grosse expérience de Fisichella, Renault na plus trouver le chemin du podium quune seule fois en 17 grands prix lannée dernière, quant à la victoire elle nétait même pas envisageable. Cette année avec le retour de Fernando Alonso parmi les siens et les bons résultats des essais dintersaison, on aurait pu penser que les progrès avaient été réels et que Renault reviendrait enfin se mêler au carré das Ferrari-McLaren. Hélas, après deux Grands Prix le bilan est décevant. Ce nest pas Fernando Alonso qui dit le contraire : Pour lui, il faudra shabituer à ces modestes résultats.
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Lage dor jaune et bleu est bel et bien révolu : Il y a encore deux ans de ça, les deux monoplaces de Fernando Alonso et de son coéquipier de lépoque Giancarlo Fisichella ne pouvaient être inquiétées que par les Ferrari. Puis Alonso est parti, ING est venu, les couleurs ont changé et les résultats aussi. Malgré toute la bonne volonté de Heikki Kovalainen et la très grosse expérience de Fisichella, Renault na plus trouver le chemin du podium quune seule fois en 17 grands prix lannée dernière, quant à la victoire elle nétait même pas envisageable. Cette année avec le retour de Fernando Alonso parmi les siens et les bons résultats des essais dintersaison, on aurait pu penser que les progrès avaient été réels et que Renault reviendrait enfin se mêler au carré das Ferrari-McLaren. Hélas, après deux Grands Prix le bilan est décevant. Ce nest pas Fernando Alonso qui dit le contraire : Pour lui, il faudra shabituer à ces modestes résultats.
A Melbourne, un Fernando Alonso des grands jours conjugué avec des faits de course qui décimaient plus de la moitié du plateau permettait à la Renault de lespagnol de monter sur une belle quatrième place après avoir résisté à la McLaren de Heikki Kovalainen. Mais une semaine plus tard à Sepang, le talent et la détermination dAlonso ne lont pas mené plus haut que la huitième place. Et encore, lespagnol est carrément fataliste dans ses déclarations :
« Cétait évident quil nous serait difficile de marquer des points régulièrement et dailleurs sans labandon de Massa cela naurait pas été possible. Cest très frustrant mais il en sera sans doute de même à Bahreïn où nous ne devrions pas être plus performants. Nous devons recevoir beaucoup dévolutions pour Barcelone, mais de toute façon, en général les meilleurs aux premiers grands prix restent les meilleurs pour le reste de la saison et la hiérarchie est toujours conservée. Alors même si je nai pas trop dillusions, tout comme le reste de léquipe je donnerai le meilleur de moi-même pour arriver à progresser dans cette hiérarchieEn attendant 2009. »
« On a une seconde et demi à récupérer rien que par le châssis à cause du gel des moteurs, alors il faut rester réaliste ». Pas vraiment optimiste, lespagnol Effectivement, on risque de voir encore des Renault naviguer au milieu du peloton avec les Red Bull, Williams et autres HondaPour combien de temps encore?
Lage dor jaune et bleu est bel et bien révolu : Il y a encore deux ans de ça, les deux monoplaces de Fernando Alonso et de son coéquipier de lépoque Giancarlo Fisichella ne pouvaient être inquiétées que par les Ferrari. Puis Alonso est parti, ING est venu, les couleurs ont changé et les résultats aussi. Malgré toute la bonne volonté de Heikki Kovalainen et la très grosse expérience de Fisichella, Renault na plus trouver le chemin du podium quune seule fois en 17 grands prix lannée dernière, quant à la victoire elle nétait même pas envisageable. Cette année avec le retour de Fernando Alonso parmi les siens et les bons résultats des essais dintersaison, on aurait pu penser que les progrès avaient été réels et que Renault reviendrait enfin se mêler au carré das Ferrari-McLaren. Hélas, après deux Grands Prix le bilan est décevant. Ce nest pas Fernando Alonso qui dit le contraire : Pour lui, il faudra shabituer à ces modestes résultats.
