Depuis plusieurs années, on vous parle de technologie hybride, dhydrogène, déthanol, de biodiesel et de véhicules électriques. Pour Alex Steffen, un chroniqueur de BusinessWeek, pour sauver la planète, nous ne devrions pas développer de nouvelles technologies pour les véhicules, mais plutôt repenser nos villes.
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Depuis plusieurs années, on vous parle de technologie hybride, dhydrogène, déthanol, de biodiesel et de véhicules électriques. Pour Alex Steffen, un chroniqueur de BusinessWeek, pour sauver la planète, nous ne devrions pas développer de nouvelles technologies pour les véhicules, mais plutôt repenser nos villes.
En fait, l'idée est de développer des communautés plus denses, regroupées autour des services essentiels, comme les commerces et les hôpitaux, la population utilisera moins lautomobile pour effectuer leurs déplacements.
Steffen rappelle que les voitures sont coûteuses, dangereuses et demeurent un véritable cauchemar écologique. Aux États-Unis, selon lEnvironmental Protection Agency, le transport génère plus du quart des gaz à effet de serre, dont plus de 20 pour cent provient des véhicules individuels. Toujours selon lauteur, nos émissions polluantes de nos véhicules sont l'une des principales causes des changements climatiques, et lamélioration de la consommation en carburant ne réglera pas ces problèmes.
En raison de la croissance démographique, la moitié de lAmérique sera reconstruite d'ici à 2030. Alors, nous dit Steffen, pourquoi ne pas nous assurer que lurbanisme des villes ne soit pas repensé afin de rendre les villes plus denses, mieux aménagées, avec des services et des transports en commun plus efficients. Pour lui, le développement des véhicules « verts » prend trop de temps et les politiques devraient être orientées ailleurs.
Cependant, nous ne pouvons que constater les derniers développements dans les nouvelles technologies, comme les véhicules plug-in, qui devraient faire leur entré en 2009-2010. Lidée de Steffen nest pas mauvaise, mais faut-il changer les mentalités et les valeurs. À linstar davoir un supermarché à 500 mètres de chez soi, encore faut-il décider de marcher au lieu de prendre le moyen le plus facile et le plus utile pour transporter ses emplettes, soit lautomobile.
Depuis plusieurs années, on vous parle de technologie hybride, dhydrogène, déthanol, de biodiesel et de véhicules électriques. Pour Alex Steffen, un chroniqueur de BusinessWeek, pour sauver la planète, nous ne devrions pas développer de nouvelles technologies pour les véhicules, mais plutôt repenser nos villes.