Les happy few qui réussiront à réserver la Lexus IS F proposée par le catalogue Nieman Marcus aux Etats-Unis ne seront pas les seuls à faire vroum vroum le matin de Noël: ils partageront ce privilège avec les premiers clients japonais de la marque, qui lance la super IS le 25 décembre au pays du Soleil Levant. La présentation de cette version japonaise a été l'occasion d'en apprendre un peu plus sur ses caractéristiques, et surtout le plus important : la vraie signification du F, dont tout le monde pensait qu'il cachait Fast. Et bien non.
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Les happy few qui réussiront à réserver la Lexus IS F proposée par le catalogue Nieman Marcus aux Etats-Unis ne seront pas les seuls à faire vroum vroum le matin de Noël: ils partageront ce privilège avec les premiers clients japonais de la marque, qui lance la super IS le 25 décembre au pays du Soleil Levant. La présentation de cette version japonaise a été l'occasion d'en apprendre un peu plus sur ses caractéristiques, et surtout le plus important : la vraie signification du F, dont tout le monde pensait qu'il cachait Fast. Et bien non.
A la mode allemande, la recette pas très diététique utilisée ici consiste à prendre une berline de taille moyenne, planter un très gros moteur sous le capot, une boîte de vitesses capable d'encaisser la cavalerie et un train roulant ad hoc réglé aux petits oignons sur la piste pour éviter, avec le concours d'un contrôle de traction dernier cri, que le propriétaire sur la route ne se fonde dans le paysage au premier changement de direction.
Dans le cas de l'IS F, les ingrédients sont un V8 atmosphérique de 5 litres développant 423 ch et 505 Nm de couple à 5200 tr/mn, couplé à la boîte automatique à 8 rapports tirée de la série LS dont le mode manuel est réglé pour la conduite sportive et opérable par des palettes derrière le volant. La suspension, les amortisseurs et les freins sont spécifiques et dimensionnés en conséquence, ainsi que les roues de 19 pouces montées en 225/40R19 à l'avant et 255/35R19 à l'arrière.
Chacun se fera une opinion sur les importantes modifications esthétiques apportées à la fluide IS, mais en tout cas on ne peut pas reprocher à Lexus d'avoir rogné sur le métal. L'intérieur est très classiquement Lexus, jusqu'à un système audio à 14 hauts parleurs Mark Levinson qui se trouve, une fois n'est pas coutume, en concurrence pour les oreilles des occupants avec la bande son Speed Metal délivrée par le chant des huit cylindres via les quatre sorties d'échappement.
Il en coûtera 7.660.000 yens (46.700 euros) aux Japonais pressés, quelques liasses de moins que la Nissan GT-R. Comme dans le cas de cette dernière, cela met le prix du cheval DIN japonais à une fraction de celui proposé par les allemands sur le marché japonais (le tarif de l'Audi RS4 est par exemple de 9.990.000 yens). Il sera intéressant de voir si Lexus se positionne de la même façon en Europe.
Ah oui, j'allais oublier: selon le communiqué de presse de Lexus Japon, le F de IS F ne veut pas donc pas dire Fast (ni Furious), mais réfère au F du Fuji Speedway, où la voiture a été en grande partie mise au point. Mystère résolu.
Les happy few qui réussiront à réserver la Lexus IS F proposée par le catalogue Nieman Marcus aux Etats-Unis ne seront pas les seuls à faire vroum vroum le matin de Noël: ils partageront ce privilège avec les premiers clients japonais de la marque, qui lance la super IS le 25 décembre au pays du Soleil Levant. La présentation de cette version japonaise a été l'occasion d'en apprendre un peu plus sur ses caractéristiques, et surtout le plus important : la vraie signification du F, dont tout le monde pensait qu'il cachait Fast. Et bien non.