Sous ce concept affublé d'un vilain nom de code se cache ce qui ressemble fort à la remplaçante de la Copen, qui était plutôt attendue au salon de Tokyo. La présentation à Francfort est-elle signe d'ambitions internationales renouvelées, malgré le volant à droite très japonais ? OFC-1 reprend la même recette de coupé cabriolet 2 places miniature se conformant à la règlementation Kei, architecture plutôt compliquée en théorie que la Copen a si bien implémenté. Le toit rétractable en trois parties est cette fois en verre à opacité variable via des cristaux liquides, comme sur une Ferrari Superamerica, rien que ça.
Zapping Le Blogauto Essai Citroën e-C4X de 136ch
Sous ce concept affublé d'un vilain nom de code se cache ce qui ressemble fort à la remplaçante de la Copen, qui était plutôt attendue au salon de Tokyo. La présentation à Francfort est-elle signe d'ambitions internationales renouvelées, malgré le volant à droite très japonais ? OFC-1 reprend la même recette de coupé cabriolet 2 places miniature se conformant à la règlementation Kei, architecture plutôt compliquée en théorie que la Copen a si bien implémenté. Le toit rétractable en trois parties est cette fois en verre à opacité variable via des cristaux liquides, comme sur une Ferrari Superamerica, rien que ça.
Sous le capot, un petit 3 cylindres 658 cm3 turbo de 63ch sans surprise qui suffit pour s'amuser avec les 820 kg de la bestiole, tout en ne consommant que 4,6l aux 100km (100,9g CO2/km). Rien encore sur un éventuel 1300 qui joua longtemps les Arlésiennes sur la Copen. Mais à vrai dire, elle peut probablement s'en passer aussi bien que cette dernière l'a fait avant elle. A revoir bientôt en version de production.
Sous ce concept affublé d'un vilain nom de code se cache ce qui ressemble fort à la remplaçante de la Copen, qui était plutôt attendue au salon de Tokyo. La présentation à Francfort est-elle signe d'ambitions internationales renouvelées, malgré le volant à droite très japonais ? OFC-1 reprend la même recette de coupé cabriolet 2 places miniature se conformant à la règlementation Kei, architecture plutôt compliquée en théorie que la Copen a si bien implémenté. Le toit rétractable en trois parties est cette fois en verre à opacité variable via des cristaux liquides, comme sur une Ferrari Superamerica, rien que ça.