L'Anglais Travelelectric veut vendre la microcar électrique italienne Elettrica. Face à la G-Wiz, il fallait marquer le coup. D'où l'idée d'organiser un Londres-Brighton (80km et quelques cotes), afin de montrer l'autonomie du véhicule. Pari gagné le 22 juillet et d'après Travelectric: "Il restait de la marge."
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L'Anglais Travelelectric veut vendre la microcar électrique italienne Elettrica. Face à la G-Wiz, il fallait marquer le coup. D'où l'idée d'organiser un Londres-Brighton (80km et quelques cotes), afin de montrer l'autonomie du véhicule. Pari gagné le 22 juillet et d'après Travelectric: "Il restait de la marge."
Le choix d'un Londres-Brighton est symbolique à plus d'un titre. D'une part, Brighton est un peu le Deauville d'Outre-manche. Ils veulent donc convaincre les bobos que cette 2 places (la G-Wiz est une 2+2) serait idéale pour rejoindre leur maison de campagne.
Mais surtout, le Londres-Brighton était l'une des premières courses organisées en Grande-Bretagne, il y a plus d'un siècle. A l'époque, atteindre Brighton était un exploit pour les moteurs thermiques. L'idée de Travelectric était sans doute de dire que la voiture électrique n'en est qu'à ses débuts.
Malgré tout, 80km sans recharger, c'est à des années-lumières du Londres-Edimbourg et retour (soit 1300km) effectué par Jeremy Clarkson avec une A8 TDI (sans passer par la pompe)...
L'Anglais Travelelectric veut vendre la microcar électrique italienne Elettrica. Face à la G-Wiz, il fallait marquer le coup. D'où l'idée d'organiser un Londres-Brighton (80km et quelques cotes), afin de montrer l'autonomie du véhicule. Pari gagné le 22 juillet et d'après Travelectric: "Il restait de la marge."