Le Mans : Retour en photos sur la victoire Aston Martin en GT1
Historique, exceptionnelle, comme à chaque arrivée des 24 Heures du Mans, les commentateurs, journalistes et autres amoureux des chiffres trouvent toujours des raisons de senthousiasmer dune victoire. Et il faut avouer que là, on sera assez daccord. Une victoire Aston Martin, il ny en avait pour le moment quune seule, au général, en 1959, avec la DBR1. Près de 50 ans après, les retrouvailles avec la victoire (de classe) est une bonne chose pour un constructeur affaibli ces derniers temps.
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Historique, exceptionnelle, comme à chaque arrivée des 24 Heures du Mans, les commentateurs, journalistes et autres amoureux des chiffres trouvent toujours des raisons de senthousiasmer dune victoire. Et il faut avouer que là, on sera assez daccord. Une victoire Aston Martin, il ny en avait pour le moment quune seule, au général, en 1959, avec la DBR1. Près de 50 ans après, les retrouvailles avec la victoire (de classe) est une bonne chose pour un constructeur affaibli ces derniers temps.
Mais sous la pluie et les périodes de safety car, les Aston Martin ont menées une course régulière. Labandon prématuré de la Corvette n°64 a avorté la bataille, mais avec la n°63 calée en deuxième position, les Américains auront tout tenté. Les deux voitures surs (007 et 009) ont fait la première partie de la course ensemble. A la tombée de la nuit, elles nétaient séparées que de 10 secondes. Mais au petit matin, une excursion hors piste de la 007 allait contraindre le team à une réparation à lavant : 8 minutes de perdues.
Dès lors la 007 cravache pour revenir sur le podium et ressort de la piste. De nombreux problèmes, conséquent de cette deuxième sortie, suivront. A cause des graviers, ce sont les pneus et les freins qui souffrent.
On notera que sur les six Aston Martin engagées, six sont à larrivée. Celle de la BMS Scuderia termine sixième de la classe et onzième du général, celle du team Modena est dixième en GT1, un accident avec une LMP2 dans la nuit lui ayant fait perdre beaucoup de temps (30 minutes).
David Brabham, au volant pour le dernier tour, confie que ce dernier tour fut le plus long de toute sa vie. « La quantité deau sur la piste rendait le grip disponible jusqualors complètement inexistant. Jai fait très attention pour ramener la voiture en sécurité, pour moi ce résultat à laccumulation de beaucoup de travail, pas seulement des pilotes, mais de léquipe entière ».
A saluer, la performance de Darren Turner qui, dimanche matin, a enchaîné un triple relais de près de 3h. « Je suis dans le programme Aston Martin depuis 2005 et pour nous, Le Mans avait un goût dincomplet, dinachevé. Aujourdhui tout le monde est heureux chez Aston Martin ! ».
Historique, exceptionnelle, comme à chaque arrivée des 24 Heures du Mans, les commentateurs, journalistes et autres amoureux des chiffres trouvent toujours des raisons de senthousiasmer dune victoire. Et il faut avouer que là, on sera assez daccord. Une victoire Aston Martin, il ny en avait pour le moment quune seule, au général, en 1959, avec la DBR1. Près de 50 ans après, les retrouvailles avec la victoire (de classe) est une bonne chose pour un constructeur affaibli ces derniers temps.