Pour la dernière partie, on va donc prendre la route avec la petite Allemande, en saccommodant des reflets dans le pare-brise. Sous le capot de la Corsa, on a eu droit au 1.3 CDTi de 90 chevaux. Tout dabord, ce qui frappe, cest le sentiment dêtre dans une voiture bien construite. On doit ce feeling tant à la qualité de finition quau confort de conduite. Ceci dit, tout nest pas parfait, mais globalement, on se sent prêt à partir loin avec la nouvelle Corsa. Dautant que le bloc quatre cylindres turbodiesel common rail déploie tout son talent. Car, il faut bien se battre avec un embonpoint limite excessif.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Pour la dernière partie, on va donc prendre la route avec la petite Allemande, en saccommodant des reflets dans le pare-brise. Sous le capot de la Corsa, on a eu droit au 1.3 CDTi de 90 chevaux. Tout dabord, ce qui frappe, cest le sentiment dêtre dans une voiture bien construite. On doit ce feeling tant à la qualité de finition quau confort de conduite. Ceci dit, tout nest pas parfait, mais globalement, on se sent prêt à partir loin avec la nouvelle Corsa. Dautant que le bloc quatre cylindres turbodiesel common rail déploie tout son talent. Car, il faut bien se battre avec un embonpoint limite excessif.
À laise sur les grands axes, la Corsa se joue aussi volontiers des turpitudes des routes sinueuses. Compte tenu du poids de la Corsa (1160 kg pour la 5 portes), le moteur sen sort super bien. Le tout dans un silence relatif et sans gourmandise outrancière (4,6 l aux 100 km en cycle mixte). Le 1.3 CDTi de 90 ch utilise la multiinjection tout en soffrant un turbo à géométrie variable et une boîte manuelle à six vitesses, en réalité une boîte avec une « fausse » sixième pour consommer moins sur autoroute. Ce bilan souffre néanmoins de deux bémols : le toucher de pédale et la conduite sous les 2000 tr/min.
Lors de lessai, pour lancer la machine avec ardeur, il a fallu appuyer assez fort sur la pédale daccélérateur. La faute au toucher de pédale. Mais aussi et surtout au moteur creux à bas régime. Il faut donc chercher la zone de régime au-delà des 2000 tr/min et manipuler le pommeau de vitesse pour y rester. Sinon, la Corsa broute et le conducteur mange son volant. Au moins, pour le coup, la motricité ne pose aucun problème. La petite Opel est capable de rouler à 172 km/h avec un 0 à 100 km/h qui demande 12,7 secondes.
Revenons un instant sur le comportement routier plutôt sain de la Corsa. Hormis une direction à crémaillère et démultiplication progressive qui mériterait un meilleur calibrage évitant ainsi les sur- ou sous-coups de volant en placement de trajectoire, lOpel a montré du caractère. Bien stable sur ses roues, elle profite en fait dune toute nouvelle plate-forme. La nouvelle Opel Corsa bénéficie dune caisse plus rigide, sur laquelle vient se greffer un nouveau berceau avant de dimensions réduites, trois fois plus rigide transversalement que le modèle précédent. À lavant, on retrouve des suspensions à jambes McPherson. À larrière, les ingénieurs ont logiquement choisi lessieu de torsion. Mais il est doté de paliers à profil en V et dun faible encombrement qui a permis dabaisser le centre de gravité. Le freinage, enfin, est à la hauteur des prestations proposées par la nouvelle Corsa. Dautant plus que lABS et lESP, ne sactivent que lorsque, vraiment, cest nécessaire. Ou alors, ils le font en toute discrétion.
Notons, pour terminer, que nous avions eu droit à un modèle équipé du GPS, de léclairage actif permettant déclairer le côté de la route en virage et du porte-vélos. Ce qui démontre que la Corsa veut jouer avec les plus grandes.
Pour la dernière partie, on va donc prendre la route avec la petite Allemande, en saccommodant des reflets dans le pare-brise. Sous le capot de la Corsa, on a eu droit au 1.3 CDTi de 90 chevaux. Tout dabord, ce qui frappe, cest le sentiment dêtre dans une voiture bien construite. On doit ce feeling tant à la qualité de finition quau confort de conduite. Ceci dit, tout nest pas parfait, mais globalement, on se sent prêt à partir loin avec la nouvelle Corsa. Dautant que le bloc quatre cylindres turbodiesel common rail déploie tout son talent. Car, il faut bien se battre avec un embonpoint limite excessif.
