Tout d'abord, désolé pour la qualité des images. Pour d'évidentes raisons de sécurité, je photographie uniquement lorsque je suis à l'arrêt et évidemment, impossible de dire au conducteur de s'arrêter le temps de prendre sa voiture... Pour le fond d'écran, c'est raté. Mais que voulez-vous, ce n'est pas tous les jours que l'on croise l'une des 10 680 Matra Murena...
Je suis trop jeune pour avoir connu les Matra du Mans ou les F1. Moi, "Matra" cela évoque un Rancho, une Murena, un Espace ou un téléphone "portable" Radiocom 2000!
La Murena, c'est une ligne inimitable. Sans parler des trois places de front... Hélas, comme souvent chez les sportives françaises, on est déçu en ouvrant le capot. Avec 118ch, le moteur Talbot 2,2l est un peu juste et il lui faut 9,3 secondes pour atteindre 100 km/h. Quant au 1600 hérité de la Bagheera... Il y avait bien une 2,0l PSA-Renault tout en alu qui trainait, mais la firme au losange le voulait pour sa Fuego et comme Matra était plus proche de Talbot, que de Peugeot, la firme au lion ne s'est pas battu pour elle.
Le "kit 142" arrivera trop tard, tout comme la S. Il y eu aussi la "Jean-Pierre Beltoise" (1 ex.) de Politecnic en l'honneur des succès de "Bebel" en rallycross (avec Max Mamers et Johnny Servoz-Gavin.)
De toute façon, en 1983, Matra doit divorcer de Peugeot-Talbot (qui distribue ses voitures) afin de se fiancer avec Renault, pour qui il produira l'Espace. Du coup, les voitures portant le badge Matra sont sacrifiées et la Murena disparaît.
Tout d'abord, désolé pour la qualité des images. Pour d'évidentes raisons de sécurité, je photographie uniquement lorsque je suis à l'arrêt et évidemment, impossible de dire au conducteur de s'arrêter le temps de prendre sa voiture... Pour le fond d'écran, c'est raté. Mais que voulez-vous, ce n'est pas tous les jours que l'on croise l'une des 10 680 Matra Murena...
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