Le paquebot est lancé. Le président Watanabe, qui paraissait bien frêle à côté de la grande berline, n'en était pas moins fier de présenter la voiture qui arrive à un moment charnière dans l'évolution du géant Toyota, voulant s'installer à grand renfort de luxe, puissance et technologie à outrance tout en haut de la pyramide automobile comme le constructeur s'est installé au sommet des tableaux de chiffres. Toutes les cases sont cochées: puissance, hybridation, transmission intégrale, contrôle de traction, suspension active, boîte à transmission variable continue, multiples systèmes de protection et de détection des obstacles, stéréo à 19 haut-parleurs... La LS460 en paraît primitive et les ingénieurs de Stuttgart, responsables de la Classe S référence en la matière n'en dorment plus la nuit.
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Le paquebot est lancé. Le président Watanabe, qui paraissait bien frêle à côté de la grande berline, n'en était pas moins fier de présenter la voiture qui arrive à un moment charnière dans l'évolution du géant Toyota, voulant s'installer à grand renfort de luxe, puissance et technologie à outrance tout en haut de la pyramide automobile comme le constructeur s'est installé au sommet des tableaux de chiffres. Toutes les cases sont cochées: puissance, hybridation, transmission intégrale, contrôle de traction, suspension active, boîte à transmission variable continue, multiples systèmes de protection et de détection des obstacles, stéréo à 19 haut-parleurs... La LS460 en paraît primitive et les ingénieurs de Stuttgart, responsables de la Classe S référence en la matière n'en dorment plus la nuit.
Mais tant de grandiloquence n'empêche pas Lexus de mettre en avant avec une certaine ingénuité l'aspect "vert" de la LS600h. L'argument est le suivant: la Lexus LS600h est équipée d'un V8 de 5 litres et d'un moteur électrique qui combinés développent 445 chevaux. L'ensemble est donc largement équivalent aux 12 cylindres de 6 litres et plus de la concurrence, mais la Lexus ne consomme "que" 8,2 litres aux 100 km, et ne dégage "que" 190 g de CO2 par km (chiffres normalisés du ministère des Transports Japonais). Ce n'est pas grand chose pour une voiture équivalente à 6 litres de cylindrée, donc nous voilà en présence d'une voiture propre, qui mérite les grands paysages sauvages, les fleurs et les papillons qui l'entourent dans les spots publicitaires. CQFD. C'est pousser le bouchon un peu loin, surtout si l'on considère que les chiffres de performances ne sont pas très éloignés de ceux de la LS460, à cause de l'excédent de poids dû au plus gros moteur et aux batteries.
Reste qu'en matière de technologie automobile, la Lexus LS600 place la barre très haut. Et à un prix qui, bien qu'étant le plus cher qu'une Toyota n'est jamais porté, est en deça de ses concurrentes désignées: entre 9.700.000 et 15.100.00 yens, soit l'équivalent d'une Classe S500 mais nettement moins cher qu'une S600. De toute façon, si d'aventure cela ne suffisait pas, Lexus ne compte pas en rester là...
Le paquebot est lancé. Le président Watanabe, qui paraissait bien frêle à côté de la grande berline, n'en était pas moins fier de présenter la voiture qui arrive à un moment charnière dans l'évolution du géant Toyota, voulant s'installer à grand renfort de luxe, puissance et technologie à outrance tout en haut de la pyramide automobile comme le constructeur s'est installé au sommet des tableaux de chiffres. Toutes les cases sont cochées: puissance, hybridation, transmission intégrale, contrôle de traction, suspension active, boîte à transmission variable continue, multiples systèmes de protection et de détection des obstacles, stéréo à 19 haut-parleurs... La LS460 en paraît primitive et les ingénieurs de Stuttgart, responsables de la Classe S référence en la matière n'en dorment plus la nuit.