par Pierre-Laurent Ribault

La Fiat 500 Abarth se dégourdit les roues dans l'enfer vert

Le magazine anglais Car nous apporte de bien belles images aujourd'hui avec la future Fiat 500 Abarth sacrifiant au rite initiatique de ce nouveau millénaire pour toute voiture à velléité sportive : la série de clichés espions sur le Nürburgring. La touche latine est apportée par une carrosserie rouge qui change du noir habituel des prototypes qui hantent le massif de l'Eifel, et les traditionnelles bandes adhésives ne cachent rien d'une carrosserie qui ne diffère pas tellement de celle de la 500 à part une bouche plus large et une esquisse de becquet au-dessus de la lunette arrière. Mais rien ne dit que ce soit définitif.

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Car magazine prédit, comme Autoexpress il y a quinze jours, que le capot de cette bomba abrite le 1,4l turbo de 150 chevaux de la Punto Abarth. Si la petite italienne a un poids en rapport avec son mini gabarit, cela devrait donner un joujou extra qui fait crac boum hue... Et si Fiat parvient à résister à la soif de l'or et donne à la 500 Abarth un tarif raisonnablement canon, il y a là le potentiel pour mordre à belles dents dans la part de marché de l'autre pinup néo-rétro sportive, la Mini Cooper S, à l'image de ce proto rouge qui avale le bitume où l'on a plus l'habitude d'espionner l'anglo-allemande.

En attendant de savoir ce qu'il en adviendra, les photos sont sur le site de Car online

Source: Car online via Autoblog.it

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Le magazine anglais Car nous apporte de bien belles images aujourd'hui avec la future Fiat 500 Abarth sacrifiant au rite initiatique de ce nouveau millénaire pour toute voiture à velléité sportive : la série de clichés espions sur le Nürburgring. La touche latine est apportée par une carrosserie rouge qui change du noir habituel des prototypes qui hantent le massif de l'Eifel, et les traditionnelles bandes adhésives ne cachent rien d'une carrosserie qui ne diffère pas tellement de celle de la 500 à part une bouche plus large et une esquisse de becquet au-dessus de la lunette arrière. Mais rien ne dit que ce soit définitif.

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