Alleluia, le nouveau propriétaire de Blackpool Automotive, c'est-à-dire l'ex-usine de Blackpool et les droits de la marque TVR, est connu. Et le gagnant est...Nikolai Smolenski ! Il y a deux semaines, j'expliquais que celui-ci, ayant raté sa manipulation finaude consistant à se séparer de ce qu'il considérait comme le boulet, l'usine et les employés, pour ne garder que les droits intellectuels et partir produire ailleurs, aux dernières nouvelles chez Bertone, se retrouvait sans le plus important, la marque TVR, balancée par erreur par-dessus bord avec le reste. Et du coup, des acheteurs se présentaient, parmi lesquels Al Melling, désirant une unité capable de produire sa supercar Hellcat.
Il n'en sera rien, en tout cas pas de cette manière. C'est Smolenski, qui a de la suite dans les idées et les poches très profondes à défaut de conseillers financiers compétents, qui remporte le morceau, avec une offre selon Autocar d'environ 2 millions de livres à rajouter aux 15 millions déjà vaporisés depuis l'achat initial. Retour à la case désespoir pour les ex de Blackpool qui pensaient voir l'horizon s'éclaircir, car il est peut probable que Smolenski trouve soudain adéquate l'usine dont il s'était donné tant de mal à se séparer. A moins qu'il ne tente de monnayer la chose auprès des autres candidats acheteurs, mais sans la marque TVR sur le paquet, ce sera une autre paire de manches. Et TVR repart dans les limbes pour une durée indéterminée. Malgré les clowns, ce sketch qui n'en finit pas ne donne pas envie de rire...
Source: Autocar via Hemmings Auto Blogs
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Alleluia, le nouveau propriétaire de Blackpool Automotive, c'est-à-dire l'ex-usine de Blackpool et les droits de la marque TVR, est connu. Et le gagnant est...Nikolai Smolenski ! Il y a deux semaines, j'expliquais que celui-ci, ayant raté sa manipulation finaude consistant à se séparer de ce qu'il considérait comme le boulet, l'usine et les employés, pour ne garder que les droits intellectuels et partir produire ailleurs, aux dernières nouvelles chez Bertone, se retrouvait sans le plus important, la marque TVR, balancée par erreur par-dessus bord avec le reste. Et du coup, des acheteurs se présentaient, parmi lesquels Al Melling, désirant une unité capable de produire sa supercar Hellcat.
Il n'en sera rien, en tout cas pas de cette manière. C'est Smolenski, qui a de la suite dans les idées et les poches très profondes à défaut de conseillers financiers compétents, qui remporte le morceau, avec une offre selon Autocar d'environ 2 millions de livres à rajouter aux 15 millions déjà vaporisés depuis l'achat initial. Retour à la case désespoir pour les ex de Blackpool qui pensaient voir l'horizon s'éclaircir, car il est peut probable que Smolenski trouve soudain adéquate l'usine dont il s'était donné tant de mal à se séparer. A moins qu'il ne tente de monnayer la chose auprès des autres candidats acheteurs, mais sans la marque TVR sur le paquet, ce sera une autre paire de manches. Et TVR repart dans les limbes pour une durée indéterminée. Malgré les clowns, ce sketch qui n'en finit pas ne donne pas envie de rire...
Alleluia, le nouveau propriétaire de Blackpool Automotive, c'est-à-dire l'ex-usine de Blackpool et les droits de la marque TVR, est connu. Et le gagnant est...Nikolai Smolenski ! Il y a deux semaines, j'expliquais que celui-ci, ayant raté sa manipulation finaude consistant à se séparer de ce qu'il considérait comme le boulet, l'usine et les employés, pour ne garder que les droits intellectuels et partir produire ailleurs, aux dernières nouvelles chez Bertone, se retrouvait sans le plus important, la marque TVR, balancée par erreur par-dessus bord avec le reste. Et du coup, des acheteurs se présentaient, parmi lesquels Al Melling, désirant une unité capable de produire sa supercar Hellcat.
Il n'en sera rien, en tout cas pas de cette manière. C'est Smolenski, qui a de la suite dans les idées et les poches très profondes à défaut de conseillers financiers compétents, qui remporte le morceau, avec une offre selon Autocar d'environ 2 millions de livres à rajouter aux 15 millions déjà vaporisés depuis l'achat initial. Retour à la case désespoir pour les ex de Blackpool qui pensaient voir l'horizon s'éclaircir, car il est peut probable que Smolenski trouve soudain adéquate l'usine dont il s'était donné tant de mal à se séparer. A moins qu'il ne tente de monnayer la chose auprès des autres candidats acheteurs, mais sans la marque TVR sur le paquet, ce sera une autre paire de manches. Et TVR repart dans les limbes pour une durée indéterminée. Malgré les clowns, ce sketch qui n'en finit pas ne donne pas envie de rire...