Promesse tenue, avec quelques mois de retard, par Mitsubishi qui met en vente sa i en Grande Bretagne après avoir soigneusement étudié le marché et les réactions des sujets de Sa Gracieuse. La i arrive telle quelle du Japon, ce qui n'est pas un problème, considérant que les Japonais, comme les Britanniques, ont choisi de conduire du mauvais côté de la route. Pas d'ensemble pédalier-volant à déplacer, donc, et pas non plus de changement sous la banquette arrière puisque le moteur reste celui de la i japonaise, avec ses trois cylindres MIVEC bons pour 660 cm3 turbocompressés délivrant 64 ch et 93 Nm de couple aux roues arrières via une boîte automatique à quatre rapports.
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Promesse tenue, avec quelques mois de retard, par Mitsubishi qui met en vente sa i en Grande Bretagne après avoir soigneusement étudié le marché et les réactions des sujets de Sa Gracieuse. La i arrive telle quelle du Japon, ce qui n'est pas un problème, considérant que les Japonais, comme les Britanniques, ont choisi de conduire du mauvais côté de la route. Pas d'ensemble pédalier-volant à déplacer, donc, et pas non plus de changement sous la banquette arrière puisque le moteur reste celui de la i japonaise, avec ses trois cylindres MIVEC bons pour 660 cm3 turbocompressés délivrant 64 ch et 93 Nm de couple aux roues arrières via une boîte automatique à quatre rapports.
Pour le reste des caractéristiques, je vous renvoie aux quelques notes que nous avons consacré à cette étonnante petite voiture ainsi qu'à la fiche technique ci-dessous.
Reste un gros morceau à avaler, le prix. Mitsubishi UK demande 8.999 livres sterling contre les clés d'une i à partir du Premier Juillet 2007. Au taux actuel, cela représente l'équivalent de 13.360 euros ou 2.093.000 yens. La version la plus proche des i vendues au Japon, la M, est affichée à 1.386.000 yens. Ce prix la place parmi les Kei les plus chères, ce qui a causé quelque tort à la voiture dont Mitsubishi a dû sortir des versions plus abordables six mois après son lancement pour donner un coup de fouet aux ventes qui s'établissent tout de même à 37.000 exemplaires vendus en 12 mois, sans compter la nomination de Voiture de l'Année décernée par les journalistes japonais.
Quoi qu'il en soit, la différence avec le tarif britannique est sévère. Ca fait cher du le voyage et du passage des compteurs en miles per hour. Sans doute formés à l'école Smart, les Anglais de Mitsubishi comptent sur les arguments fashion de la i pour empocher la différence, et ça peut marcher si la voiture reste suffisamment exclusive: une partie des 300 exemplaires de la première fournée seraient déjà réservés.
Promesse tenue, avec quelques mois de retard, par Mitsubishi qui met en vente sa i en Grande Bretagne après avoir soigneusement étudié le marché et les réactions des sujets de Sa Gracieuse. La i arrive telle quelle du Japon, ce qui n'est pas un problème, considérant que les Japonais, comme les Britanniques, ont choisi de conduire du mauvais côté de la route. Pas d'ensemble pédalier-volant à déplacer, donc, et pas non plus de changement sous la banquette arrière puisque le moteur reste celui de la i japonaise, avec ses trois cylindres MIVEC bons pour 660 cm3 turbocompressés délivrant 64 ch et 93 Nm de couple aux roues arrières via une boîte automatique à quatre rapports.
