Le Ministre bruxellois de la mobilité veut demander aux fabricants de GPS dexclure certaines zones dans les recherches ditinéraire. Ainsi, le système de navigation ne pourra plus envoyer, sauf sil sagit de la destination, dutilisateurs dans certains quartiers résidentiels ou à proximité des écoles. Bref, lidée est donc de laisser les voitures sur les axes principaux et, accessoirement, dans les embouteillages.
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Le GPS, cest pratique. Avec le TMC ou manuellement, il est possible de contourner les bouchons en se lançant dans les petites rues. Cela ne plaît guère à certains riverains et aux autorités publiques. Plusieurs villes flamandes ont déjà constaté un afflux daventuriers satellisés. Si bien que la Flandre a presque terminé sa carte des zones « interdites aux GPS ». Bruxelles ne fait donc que suivre cette même voie. Du côté des fabricants, on nest pas opposé à lidée. Mais reste une question. Sur quels critères seront sélectionnés les quartiers bannis ? Sur le montant du loyer au mètre carré, sur la réelle nuisance ou sur linfluence politique de leurs habitants ? Et puis, cela nempêchera jamais personne dutiliser la carte de son système GPS pour se concocter son propre itinéraire ;-)
Le Ministre bruxellois de la mobilité veut demander aux fabricants de GPS dexclure certaines zones dans les recherches ditinéraire. Ainsi, le système de navigation ne pourra plus envoyer, sauf sil sagit de la destination, dutilisateurs dans certains quartiers résidentiels ou à proximité des écoles. Bref, lidée est donc de laisser les voitures sur les axes principaux et, accessoirement, dans les embouteillages.