Afin de compléter sa gamme avec des citadines, Chrysler songeait à rebadger des Chery (avec lequel il a monté une joint-venture en Chine.) Il l'a bien fait avec des Japonaises, dans les années 80, à l'époque des "Chrysler Import Center". Seulement, ils trouvent que les Chery sont trop loins de leurs standards en terme de qualité de fabrication et de sécurité. Et pourtant, Chrysler n'est pas très éxigeant en la matière...
Afin de compléter sa gamme avec des citadines, Chrysler songeait à rebadger des Chery (avec lequel il a monté une joint-venture en Chine.) Il l'a bien fait avec des Japonaises, dans les années 80, à l'époque des "Chrysler Import Center". Seulement, ils trouvent que les Chery sont trop loins de leurs standards en terme de qualité de fabrication et de sécurité. Et pourtant, Chrysler n'est pas très éxigeant en la matière...
Du coup, la mise en production de l'Hornet, un temps écartée, redevient d'actualité.
En parallèle, Daimler cherche un repreneur pour Chrysler, mal en point. Fiat, Hyundai et Renault-Nissan ont dit non. GM, lui-même en difficulté, hésite. Du coup, il prospecte en Chine. On parle de SAIC et Chery.
Autre prétendant, le Canadien Magna (qui sous-traite notamment la production des Voyager et des 300C.) Or Magna, c'est Magna-Steyr, ex-Steyr-Puch, ex-Austro-Daimler... Une ancienne filiale de Daimler. Décidément, le monde de l'automobile est petit.
Afin de compléter sa gamme avec des citadines, Chrysler songeait à rebadger des Chery (avec lequel il a monté une joint-venture en Chine.) Il l'a bien fait avec des Japonaises, dans les années 80, à l'époque des "Chrysler Import Center". Seulement, ils trouvent que les Chery sont trop loins de leurs standards en terme de qualité de fabrication et de sécurité. Et pourtant, Chrysler n'est pas très éxigeant en la matière...
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