Monte-Carlo Historique: Quelques légendes allemandes
BMW 2002 Tii. Comme pour beaucoup de voitures anciennes, la BMW 2002 compte de nombreux adeptes passionnés qui continuent à faire vivre celle qui a aider la marque à lHélice à survivre. En effet, au début des années 70, BMW nétait pas au mieux de sa forme. La 2002, qui remplaça la 1500 a droit à une grande page dans le livre dHistoire de la marque. Ancêtre de la série 3 E21 (première de la lignée), son designer italien Michelotti imposa quelques codes stylistiques déjà vus sur la 1500, comme les phares ronds enchassés par exemple. Hormis la 2002 Turbo qui fut perçue comme provocante à sa sortie, notamment à cause de ses attributs démonstratifs à une époque où la crise pétrolière battait son plein, la 2002 Tii représentait la reine de la gamme. Moteur 4 cylindres 2.0 à injection Kügelfisher de 130 ch en voilà une voiture qui en avait pour son époque ! Cette page Historique de BMW, des passionnés continuent de la laisser ouverte au public, en salignant sur les épreuves historiques, car une voiture est tout de même dans son élément sur la route, plutôt que sur son stand au musée.
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Audi est également représenté sur ce Monte-Carlo Historique 2007, notamment par ce coupé 100S (n°296) de 1970. Considérée par beaucoup comme la première sportive du constructeur aux Anneaux lors du salon de Francfort 69, elle est dérivée de la berline 100, avec 2 portes en moins. A cette époque, les coupés suivent la tendance « fastback », avec un arrière plongeant caractéristique. Dabord commercialisée avec deux carburateurs, son 4 cylindres 1.9 développait 115 ch, pour des performances très honorables : 0 à 100 km/h en moins de 11 s, et plus de 180 km/h de vitesse de pointe. Plutôt rare à trouver de nos jours, il est encore plus rare den voir rouler.
Quant aux Porsche, nous nous sommes arrêtés sur 3 modèles plus ou moins connus : Une 911 Carrera RS de 1973, une 911 T 2.0 de 1968 et sur une 914/6 de 1976. La première citée est une véritable icône de la sportivité, voire comme la sportive quil faut posséder. Pour pouvoir saligner en championnat GT, la 911 2.4 S nétait pas assez extrême pour pouvoir justifier lhomologation dun modèle de course. Parti de ce constat, la Carrera 2.7 allait naître pour le plus grand bonheur de ses rares propriétaires !
Le moins que lon puisse dire, cest que la Carrera RS est identifiable au premier coup dil, notamment par ce fameux aileron de « canard », ses jantes spécifiques de couleur, et le bandeau Carrera qui court sur les flancs. Attention méchante ! Côté performances, le moteur de la 2.4 S gagne 20 ch pour culminer à 210 ch, avec des chiffres à donner le vertige pour lépoque et même aujourdhui. A peine plus de 6 secondes pour le sprint du 0 à 100km/ h et une vitesse de pointe frisant les 240 km/h !!! Juste énormissime pour une auto de plus de 30 ans. Alors oui, messieurs Johnsen et Aamodt (équipage de la n°222), vous avez fait des heureux sur le bord de la route.
Plus ancienne la 911 2.0 T était considérée comme la « petite » 911 à lépoque. En effet, à la tête de 110 chevaux, cétait la 911 dentrée de gamme. Vite remplacée la par la 911 2.0 E, la T a bel et bien existée, et est devenue finalement un objet rare, et peu de Porschistes peuvent se targuer den posséder une. Ce nest pas le cas des Norvégiens Lie et Granli qui ont mené leur exemplaire sur les routes du Monte-Carlo.
Pour ceux qui se rappelleraient de la 914/6, elle fait partie de ses Porsche « hors 911 » qui ont eu du mal à se faire une place dans la gamme de Zuffhausen. Sortie du rapprochement (déjà !) de VW et Porsche, la VW Porsche 914 devait valoriser la marque du peuple grâce à cette association. Quant à Porsche, elle pensait tenir là son modèle « abordable ». La 6 reprenait donc le flat 6 de la reine 911, qui ne développait que 110 ch dans le petit roadster. Malheureusement, le problème était quelle ne fut jugée justement pas assez sportive pour convaincre, avec un tarif se rapprochant de celui dune 911. Dès lors, le choix pour beaucoup était fait.
BMW 2002 Tii. Comme pour beaucoup de voitures anciennes, la BMW 2002 compte de nombreux adeptes passionnés qui continuent à faire vivre celle qui a aider la marque à lHélice à survivre. En effet, au début des années 70, BMW nétait pas au mieux de sa forme. La 2002, qui remplaça la 1500 a droit à une grande page dans le livre dHistoire de la marque. Ancêtre de la série 3 E21 (première de la lignée), son designer italien Michelotti imposa quelques codes stylistiques déjà vus sur la 1500, comme les phares ronds enchassés par exemple. Hormis la 2002 Turbo qui fut perçue comme provocante à sa sortie, notamment à cause de ses attributs démonstratifs à une époque où la crise pétrolière battait son plein, la 2002 Tii représentait la reine de la gamme. Moteur 4 cylindres 2.0 à injection Kügelfisher de 130 ch en voilà une voiture qui en avait pour son époque ! Cette page Historique de BMW, des passionnés continuent de la laisser ouverte au public, en salignant sur les épreuves historiques, car une voiture est tout de même dans son élément sur la route, plutôt que sur son stand au musée.
