Sans pour autant faire partie des ténors du plateau de Formule 1, Takuma Sato est sans conteste le meilleur pilote japonais de l'histoire de ce sport. Sa popularité au pays du soleil levant est immense, il n'y a qu'à se souvenir de la standing ovation que le public de Suzuka lui a réservé à la fin de son Grand Prix national. Mais si Taku ne sera sans doute jamais champion du monde, il pourra toujours se consoler en constatant que ses revenus n'ont rien à envier à ceux de ses illustres collègues.
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Sans pour autant faire partie des ténors du plateau de Formule 1, Takuma Sato est sans conteste le meilleur pilote japonais de l'histoire de ce sport. Sa popularité au pays du soleil levant est immense, il n'y a qu'à se souvenir de la standing ovation que le public de Suzuka lui a réservé à la fin de son Grand Prix national. Mais si Taku ne sera sans doute jamais champion du monde, il pourra toujours se consoler en constatant que ses revenus n'ont rien à envier à ceux de ses illustres collègues.
Selon le journal espagnol Marca, le pilote Super Aguri aurait empoché en 2006 la bagatelle de 7,7 millions de dollars, contrats publicitaires personnels inclus. A titre de comparaison, Fernando Alonso, champion du monde en titre, a reçu 7,2 millions de dollars de la part de Renault cette année. Salaire qui sera probablement revu à la hausse par Ron Dennis en 2007.
Pour sa part, Anthony Davidson, son futur équipier, devrait toucher un salaire de 250.000 dollars pour piloter l'autre Super Aguri en 2007, soit 30 fois moins que Sato. Mais s'il est prometteur, le jeune Britannique n'est pas encore une star de la course automobile.
Sans pour autant faire partie des ténors du plateau de Formule 1, Takuma Sato est sans conteste le meilleur pilote japonais de l'histoire de ce sport. Sa popularité au pays du soleil levant est immense, il n'y a qu'à se souvenir de la standing ovation que le public de Suzuka lui a réservé à la fin de son Grand Prix national. Mais si Taku ne sera sans doute jamais champion du monde, il pourra toujours se consoler en constatant que ses revenus n'ont rien à envier à ceux de ses illustres collègues.