Elle se vend bien, la compacte d'Opel : depuis 2004, il s'en est vendu 1,2 million. Est-ce pour cela que son restylage est si timide? Il ne faudrait pas oublier l'état épouvantable des finances de GM ces dernières années. Cosmétiquement, l'Astra ne change que par sa calandre, le motif des feux arrière (à effet 3D) et diverses touches chromées dans l'habitacle, qui se pare de revêtements noirs vernis (version Cosmo).
Mécaniquement, en revanche, les modifications sont sensibles. Le 1.7 CDTI (origine Isuzu) de la Corsa IV s'installe sous le capot, en 110 et 125 ch. Il remplace le 1.9 CDTI (le JTD de Fiat en fait), dans ses déclinaisons 100 et 120 ch, cette dernière ne continuant sa carrière qu'accouplée à une boîte auto 6 vitesses.
En essence, ça bouge aussi. Un 1.6 Ecotec de 115 ch à double déphaseur vient épauler le 1.6 Twinport de 105 ch, mais attelé à une transmission robotisée à 5 rapports Easytronic. Le but? Abaisser les consommations : 6,3 l/100 km en moyenne, joli score. Une version turbocompressée de ce 1.6 (déjà vue dans la Meriva OPC) proposant 180 ch se glisse aussi dans l'Astra, et prend la relève du 2.0 Turbo de 170 ch.
On constate la progression du downiszing des moteurs, qui s'affirme comme une tendance lourde. Cette Astra sera présentée au salon de Bologne (7-17 décembre) et commercialisée en même temps.
Elle se vend bien, la compacte d'Opel : depuis 2004, il s'en est vendu 1,2 million. Est-ce pour cela que son restylage est si timide? Il ne faudrait pas oublier l'état épouvantable des finances de GM ces dernières années. Cosmétiquement, l'Astra ne change que par sa calandre, le motif des feux arrière (à effet 3D) et diverses touches chromées dans l'habitacle, qui se pare de revêtements noirs vernis (version Cosmo).
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