Lorsque la Lexus LF-A est apparue sur le circuit des salons internationaux, beaucoup ont cru que ce supercar remplirait la case voiture de sport chez Toyota, rôle tenu jusque-là par la Supra. Erreur. La Lexus vise très haut, beaucoup trop élitiste et exotique pour le loyal toyotista japonais, qui achetait la Supra comme les travailleurs américains la Corvette: la voiture de sport du peuple, chère mais à portée de crédit pour les plus déterminés. Un rôle également tenu par la Skyline GT-R ou la Mazda RX7, coupés pas bégueules qui acceptent sans barguigner les pots d'échappements géants, suspensions surbaissées et ailerons façon SuperGT pour être la plus belle pour aller danser les samedis soirs sur les petites routes de la montagne nippone, jamais bien loin.
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Lorsque la Lexus LF-A est apparue sur le circuit des salons internationaux, beaucoup ont cru que ce supercar remplirait la case voiture de sport chez Toyota, rôle tenu jusque-là par la Supra. Erreur. La Lexus vise très haut, beaucoup trop élitiste et exotique pour le loyal toyotista japonais, qui achetait la Supra comme les travailleurs américains la Corvette: la voiture de sport du peuple, chère mais à portée de crédit pour les plus déterminés. Un rôle également tenu par la Skyline GT-R ou la Mazda RX7, coupés pas bégueules qui acceptent sans barguigner les pots d'échappements géants, suspensions surbaissées et ailerons façon SuperGT pour être la plus belle pour aller danser les samedis soirs sur les petites routes de la montagne nippone, jamais bien loin.
Alors, tandis que les media planétaires suivent les évolutions successives de la LF-A sur le Nordschleife, les canards locaux publient régulièrement les derniers potins et les photoshops d'après "des tuyaux en béton" sur la prochaine Supra. Et c'est un de ces "scoops" qui vient d'arriver dans Autoexpress, via une correspondance du Big Daddy des correspondants étrangers à Tokyo Peter Lyon. La Supra n'est pas morte, au contraire. Elle serait même prête à la gloire d'être la première voiture de sport hybride, en dotant une plateforme dérivée de la LF-A de l'ensemble moteur/rotor/batteries qui propulse gaillardement la Lexus GS450h. 341 chevaux pour le V6 3,5l dopé aux électrons et autour de 5 secondes de 0 à 100, l'électro-Supra pourrait faire sa première apparition publique au prochain Salon de Detroit, pour couper l'herbe sous le pied de la Nissan GT-R qui vise le titre désormais adulé par la génération Playstation de Japonaise roots ultime. Est-ce que l'approche technologique de Toyota séduira les accros de la performance made in Japan ? C'est à voir. Dans le cas contraire, la LF-A et sa mécanique noble (V10) sera là pour rattraper les sceptiques. Toyota peut se permettre de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier.
Lorsque la Lexus LF-A est apparue sur le circuit des salons internationaux, beaucoup ont cru que ce supercar remplirait la case voiture de sport chez Toyota, rôle tenu jusque-là par la Supra. Erreur. La Lexus vise très haut, beaucoup trop élitiste et exotique pour le loyal toyotista japonais, qui achetait la Supra comme les travailleurs américains la Corvette: la voiture de sport du peuple, chère mais à portée de crédit pour les plus déterminés. Un rôle également tenu par la Skyline GT-R ou la Mazda RX7, coupés pas bégueules qui acceptent sans barguigner les pots d'échappements géants, suspensions surbaissées et ailerons façon SuperGT pour être la plus belle pour aller danser les samedis soirs sur les petites routes de la montagne nippone, jamais bien loin.