Ah, elle aura connu des débuts bien difficiles, la Mercedes Classe E. En effet, son électronique capricieuse a pourri la vie à bien des propriétaires. Mais voilà, Mercedes a remédié aux problèmes (qui lui ont coûté très cher), sucré des contrats à l'équipementier Bosch et restylé sa berline, qui depuis, a repris la tête de sa catégorie en Europe. Par ailleurs, elle occupe 45% de son segment en Allemagne. En effet, ce ne sont pas moins de 21 000 Classe E qui sont tombées des chaînes en septembre, soit le triple d'une année de production de Renault Vel Satis, ou le double d'une de Peugeot 607. Pour paraphraser Coluche, jusqu'où s'arrêtera-t-elle?
Zapping Le Blogauto La Porsche Panamera en avant premiere
Ah, elle aura connu des débuts bien difficiles, la Mercedes Classe E. En effet, son électronique capricieuse a pourri la vie à bien des propriétaires. Mais voilà, Mercedes a remédié aux problèmes (qui lui ont coûté très cher), sucré des contrats à l'équipementier Bosch et restylé sa berline, qui depuis, a repris la tête de sa catégorie en Europe. Par ailleurs, elle occupe 45% de son segment en Allemagne. En effet, ce ne sont pas moins de 21 000 Classe E qui sont tombées des chaînes en septembre, soit le triple d'une année de production de Renault Vel Satis, ou le double d'une de Peugeot 607. Pour paraphraser Coluche, jusqu'où s'arrêtera-t-elle?
Ah, elle aura connu des débuts bien difficiles, la Mercedes Classe E. En effet, son électronique capricieuse a pourri la vie à bien des propriétaires. Mais voilà, Mercedes a remédié aux problèmes (qui lui ont coûté très cher), sucré des contrats à l'équipementier Bosch et restylé sa berline, qui depuis, a repris la tête de sa catégorie en Europe. Par ailleurs, elle occupe 45% de son segment en Allemagne. En effet, ce ne sont pas moins de 21 000 Classe E qui sont tombées des chaînes en septembre, soit le triple d'une année de production de Renault Vel Satis, ou le double d'une de Peugeot 607. Pour paraphraser Coluche, jusqu'où s'arrêtera-t-elle?