C'était pourtant une idée séduisante, mais JCB vient de faire savoir que la société de Sir Bamford renonçait à ses prétentions, étant donné que Ford serait inflexible: c'est Jaguar et Land Rover ou rien. Bamford ne veut pas de la seconde entreprise, sans doute déjà comblé par ses propres produits en matière d'utilitaires tout-terrain. Il n'est pas non plus intéressé par Aston Martin, que Ford a pourtant publiquement mis dans les étalages. Que peut-on tirer de cette information? D'abord, on ne connait pas le contenu des négociations. L'offre de JCB était peut-être trop juste pour intéresser le constructeur de Detroit.
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C'était pourtant une idée séduisante, mais JCB vient de faire savoir que la société de Sir Bamford renonçait à ses prétentions, étant donné que Ford serait inflexible: c'est Jaguar et Land Rover ou rien. Bamford ne veut pas de la seconde entreprise, sans doute déjà comblé par ses propres produits en matière d'utilitaires tout-terrain. Il n'est pas non plus intéressé par Aston Martin, que Ford a pourtant publiquement mis dans les étalages. Que peut-on tirer de cette information? D'abord, on ne connait pas le contenu des négociations. L'offre de JCB était peut-être trop juste pour intéresser le constructeur de Detroit.
Mais dans le cas où Sir Anthony Bamford dit vrai, pourquoi Ford rechigne-t-il tant à se séparer de Jaguar? Le constructeur américain a injecté des fonds conséquents pour tenter de redresser le britannique, sans succès notable jusqu'à présent. Le partage de plateforme avec la X type a été un échec, et Jaguar n'a pas su se repositionner de façon satisfaisante sur le marché du haut de gamme vis à vis du triumvirat allemand. La future S Type, malgré les déclarations bravaches de Jaguar, aura tout à prouver. Les apparences ne sont donc pas favorables, et on aurait pu penser que Ford serait enchanté de pouvoir se débarrasser du boulet à bon compte. Le gros matou aurait-il des atouts dans sa manche que tout le monde aurait ignoré ?
C'était pourtant une idée séduisante, mais JCB vient de faire savoir que la société de Sir Bamford renonçait à ses prétentions, étant donné que Ford serait inflexible: c'est Jaguar et Land Rover ou rien. Bamford ne veut pas de la seconde entreprise, sans doute déjà comblé par ses propres produits en matière d'utilitaires tout-terrain. Il n'est pas non plus intéressé par Aston Martin, que Ford a pourtant publiquement mis dans les étalages. Que peut-on tirer de cette information? D'abord, on ne connait pas le contenu des négociations. L'offre de JCB était peut-être trop juste pour intéresser le constructeur de Detroit.