Comme le laissaient déjà présager les rumeurs, l'AFP signale la fin des négociations engagées le 14 juillet 2006 entre Renault-Nissan et le groupe GM en difficulté, sous l'impulsion de Kirk Kerkorian.Non content de pouvoir s'appuyer sur des méthodes ayant fait leurs preuves, GM un peu gourmand, souhaitait en plus que Renault-Nissan "achète ce droit" ... à l'aider "au motif que l'investissement significatif de Renault-Nissan dans GM l'empêcherait d'envisager d'autres opportunités d'alliances" , démarche initiée pourtant par GM. En clair, non seulement Renault-Nissan "s'engageait" à voler au secours de GM, mais en plus devait payer pour cela... quand on sait le coût d'une telle opération, cela semble déplacé.
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Comme le laissaient déjà présager les rumeurs, l'AFP signale la fin des négociations engagées le 14 juillet 2006 entre Renault-Nissan et le groupe GM en difficulté, sous l'impulsion de Kirk Kerkorian.Non content de pouvoir s'appuyer sur des méthodes ayant fait leurs preuves, GM un peu gourmand, souhaitait en plus que Renault-Nissan "achète ce droit" ... à l'aider "au motif que l'investissement significatif de Renault-Nissan dans GM l'empêcherait d'envisager d'autres opportunités d'alliances" , démarche initiée pourtant par GM. En clair, non seulement Renault-Nissan "s'engageait" à voler au secours de GM, mais en plus devait payer pour cela... quand on sait le coût d'une telle opération, cela semble déplacé.
On peut d'ailleurs mettre en partie le manque de nouveautés actuellement chez Renault à l'actif de la mise à disposition de nombreux cadres Renault de haut vol chez Nissan. Bref, c'était Renault-Nissan qui rentrait "en" GM et non l'inverse.
Réponse de Renault-Nissan: «Renault et Nissan considèrent que le principe même de compensation est contraire à l'esprit de toute alliance performante».
En conclusion il est intéressant de noter que:
> les rêves de grandeurs ne sont pas montés à la tête des franco-japonais.
> que Renault-Nissan est définitivement un groupe qui compte, incontournable.
> que la stratégie d'affaiblir un concurrent (Renault-Nissan), quelque peu malmené en ce moment, n'aura pas fonctionné pour GM. Monsieur Ghosn et à fortiori les japonais maîtrisent à l'évidence les principes de l'Art de la guerre ou de l'Hagakure.
Reste à voir les solutions pour GM, hors sursaut de leurs produits sur les marchés, et connaître le sentiment de Kerkorian.
Comme le laissaient déjà présager les rumeurs, l'AFP signale la fin des négociations engagées le 14 juillet 2006 entre Renault-Nissan et le groupe GM en difficulté, sous l'impulsion de Kirk Kerkorian.Non content de pouvoir s'appuyer sur des méthodes ayant fait leurs preuves, GM un peu gourmand, souhaitait en plus que Renault-Nissan "achète ce droit" ... à l'aider "au motif que l'investissement significatif de Renault-Nissan dans GM l'empêcherait d'envisager d'autres opportunités d'alliances" , démarche initiée pourtant par GM. En clair, non seulement Renault-Nissan "s'engageait" à voler au secours de GM, mais en plus devait payer pour cela... quand on sait le coût d'une telle opération, cela semble déplacé.