Chaque pays a sa propre tradition en matière de taxi, du Yellow Cab new-yorkais au noir londonien, en passant par les tricycles surchargés indonésiens, les taxis tokyoites à porte mécanique, sans oublier bien sûr les taxis parisiens, collection exhaustive de berlines diesel de toutes origines. A part le fait de transporter des inconnus et terroriser cyclistes et provinciaux hésitants au feu vert, on ne peut guère distinguer de points communs entre tous ces véhicules, alors que les besoins sont sensiblement identiques quelle que soit la capitale embouteillée du monde où sévit notre taximan.
Zapping Le Blogauto Essai de l'Abarth 500E
Chaque pays a sa propre tradition en matière de taxi, du Yellow Cab new-yorkais au noir londonien, en passant par les tricycles surchargés indonésiens, les taxis tokyoites à porte mécanique, sans oublier bien sûr les taxis parisiens, collection exhaustive de berlines diesel de toutes origines. A part le fait de transporter des inconnus et terroriser cyclistes et provinciaux hésitants au feu vert, on ne peut guère distinguer de points communs entre tous ces véhicules, alors que les besoins sont sensiblement identiques quelle que soit la capitale embouteillée du monde où sévit notre taximan.
Celui-ci sera donc intéressé, indépendamment de son territoire, par le concept imaginé par l'Ecole Supérieure Professionnelle et l'Université des Arts et du Design d'Helsinki. Partant des résultats d'une recherche faite auprès d'utilisateurs, les étudiants finlandais ont réinventé le taxi en utilisant les technologies actuellement à disposition.
Ignorons pour l'instant le coût et la viabilité industrielle des techniques mises en oeuvre, pour ne s'intéresser qu'aux fonctions. Il y a certainement de l'idée: côté usagers, une vaste zone arrière avec cinq places, y compris possibilité d'accueillir un fauteuil roulant et son occupant. Le véhicule est d'ailleurs muni de suspensions pneumatiques pour pouvoir s'abaisser et faciliter l'accès, par une large porte coulissante. Les bagages prennent place dans un coffre à côté du chauffeur.
Destiné à tourner inlassablement en agglomération, le Cltycab est équipé du système hybride Synergy Drive de Toyota et d'une carrosserie en fibre de carbone pour être léger, économique et non polluant. Ses quatre roues directrices lui donnent un rayon de braquage de 6,9 mètres seulement.
Saupoudrez le tout des derniers développements en matière d'informatique embarquée et télécommunications, et d'un design charmant, et voilà une proposition séduisante, résumée dans une vidéo sur le site de CityCab.
S'il est des chauffeurs de taxi qui nous lisent, on aimerait bien avoir leur avis éclairé sur ce CityCab, que vous pouvez voir en ce moment au Mondial de l'Automobile ou découvrir en détail, et en français, sur le site dédié.
Chaque pays a sa propre tradition en matière de taxi, du Yellow Cab new-yorkais au noir londonien, en passant par les tricycles surchargés indonésiens, les taxis tokyoites à porte mécanique, sans oublier bien sûr les taxis parisiens, collection exhaustive de berlines diesel de toutes origines. A part le fait de transporter des inconnus et terroriser cyclistes et provinciaux hésitants au feu vert, on ne peut guère distinguer de points communs entre tous ces véhicules, alors que les besoins sont sensiblement identiques quelle que soit la capitale embouteillée du monde où sévit notre taximan.