C'était écrit. Après la Ferrari 575 GTZ Zagato et la P4/5, la candidate toute désignée pour être réincarnée était la Ferrari 250 GTO. Et cette fois ce n'est pas Pininfarina, orphelin de son chef du design, qui tient les crayons mais le jeune styliste hollandais responsable de l'originale Spyker D12, Michel Van Den Brink. Il signe une très intéressante interprétation moderne du mythe, mêlant les courbes légendaires avec celles de la 599 GTB Fiorano, et contournant ainsi habilement l'écueil du néo-rétro un peu stérile qui a été reproché à la Miura Concept.
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C'était écrit. Après la Ferrari 575 GTZ Zagato et la P4/5, la candidate toute désignée pour être réincarnée était la Ferrari 250 GTO. Et cette fois ce n'est pas Pininfarina, orphelin de son chef du design, qui tient les crayons mais le jeune styliste hollandais responsable de l'originale Spyker D12, Michel Van Den Brink. Il signe une très intéressante interprétation moderne du mythe, mêlant les courbes légendaires avec celles de la 599 GTB Fiorano, et contournant ainsi habilement l'écueil du néo-rétro un peu stérile qui a été reproché à la Miura Concept.
La Vandenbrink GTO "Mugello", puisque c'est comme cela que la nomme son créateur, n'est pour l'instant qu'une image, plusieurs images en fait qui reprennent certaines livrées bien connues de la 250 GTO pour dissiper tous les doutes quant à l'inspiration. Ce fut apparemment suffisant pour trouver au minimum un client, puisque le site Vandenbrink annonce maintenant que la voiture va être construite. Ferrari acceptera-t-elle d'y mettre son badge comme sur la P4/5?
C'était écrit. Après la Ferrari 575 GTZ Zagato et la P4/5, la candidate toute désignée pour être réincarnée était la Ferrari 250 GTO. Et cette fois ce n'est pas Pininfarina, orphelin de son chef du design, qui tient les crayons mais le jeune styliste hollandais responsable de l'originale Spyker D12, Michel Van Den Brink. Il signe une très intéressante interprétation moderne du mythe, mêlant les courbes légendaires avec celles de la 599 GTB Fiorano, et contournant ainsi habilement l'écueil du néo-rétro un peu stérile qui a été reproché à la Miura Concept.
