Le groupe Fiat voit des jours meilleurs, et il est temps selon son directeur général Sergio Marchionne d'aller rechercher les bijoux de famille mis au clou lors des heures sombres: les parts de Ferrari revendues en 2002 à la banque Mediobanca. L'affaire sera faite à la fin du mois de septembre, mais il ne sera pas possible de tout racheter: sur les 34% vendus a l'organisme financier, 5% sont depuis devenus propriété d'une société d'Abu Dhabi, la Mubadala Development Company, qu'on retrouve également dans le capital de Spyker.
Zapping Le Blogauto Essai de la Volkswagen ID3 (2023)
Le groupe Fiat voit des jours meilleurs, et il est temps selon son directeur général Sergio Marchionne d'aller rechercher les bijoux de famille mis au clou lors des heures sombres: les parts de Ferrari revendues en 2002 à la banque Mediobanca. L'affaire sera faite à la fin du mois de septembre, mais il ne sera pas possible de tout racheter: sur les 34% vendus a l'organisme financier, 5% sont depuis devenus propriété d'une société d'Abu Dhabi, la Mubadala Development Company, qu'on retrouve également dans le capital de Spyker.
Reste 29% avec lesquels Fiat attendrait un total de 85% des actions du constructeur de Maranello (les 10% restants, comptez bien, sont propriété de la famille Ferrari). Et ce ne sera pas Luca di Montezemolo qui trouvera a y redire, puisqu'il est à la fois président de Ferrari et de Fiat. Tout est bien qui finit bien, sauf pour ceux qui espéraient voir le Cavallino se cabrer en bourse et pour Bernie, qu'une rumeur au printemps voyait tourner au-dessus de la banque italienne. Il faudra trouver autre chose...
Le groupe Fiat voit des jours meilleurs, et il est temps selon son directeur général Sergio Marchionne d'aller rechercher les bijoux de famille mis au clou lors des heures sombres: les parts de Ferrari revendues en 2002 à la banque Mediobanca. L'affaire sera faite à la fin du mois de septembre, mais il ne sera pas possible de tout racheter: sur les 34% vendus a l'organisme financier, 5% sont depuis devenus propriété d'une société d'Abu Dhabi, la Mubadala Development Company, qu'on retrouve également dans le capital de Spyker.