Si vous faites partie des (nombreux) détracteurs de la calandre identitaire de Subaru, sonnez cloches, résonnez trompettes: après deux ans à supporter regards consternés et fous-rires étouffés, les décideurs du constructeur japonais ont choisi de mettre en veilleuse le nez controversé qui fit si faible impression sur l'Impreza et surtout sur le très laid Tribeca, au profit de... on ne sait pas encore quoi d'ailleurs. Mais l'hélice stylisée, sensée rappeller les origines avionneuses de Fuji Heavy Industries, passe à la trappe. C'est le porte-parole de Subaru Australie qui l'avoue, à propos des nouvelles moutures du Liberty et de l'Outback à venir, en essayant comme dans ces cas là de faire bonne figure: tout cela était bien entendu prévu de longue date, l'idée reste d'actualite mais peut prendre de multiples formes, etc. Le résultat est là : l'étrange calandre en trois parties est au rebut, et la victime expiatoire est le designer grec Andreas Zapatinas qui justement vient de disparaitre des organigrammes de la maison. Arrivé sous les vivats en 2002 après s'être créé une réputation flatteuse au sein du groupe Fiat, c'est sous son règne que l'on vit l'hélice se coller au nez de la petite R1, où elle ne se fit pas trop remarquer, puis avec beaucoup moins de succès sur l'Impreza et donc le B9 Tribeca, dont le nom curieux et le manque de grâce n'ont pas convaincu grand monde.
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Si vous faites partie des (nombreux) détracteurs de la calandre identitaire de Subaru, sonnez cloches, résonnez trompettes: après deux ans à supporter regards consternés et fous-rires étouffés, les décideurs du constructeur japonais ont choisi de mettre en veilleuse le nez controversé qui fit si faible impression sur l'Impreza et surtout sur le très laid Tribeca, au profit de... on ne sait pas encore quoi d'ailleurs. Mais l'hélice stylisée, sensée rappeller les origines avionneuses de Fuji Heavy Industries, passe à la trappe. C'est le porte-parole de Subaru Australie qui l'avoue, à propos des nouvelles moutures du Liberty et de l'Outback à venir, en essayant comme dans ces cas là de faire bonne figure: tout cela était bien entendu prévu de longue date, l'idée reste d'actualite mais peut prendre de multiples formes, etc. Le résultat est là : l'étrange calandre en trois parties est au rebut, et la victime expiatoire est le designer grec Andreas Zapatinas qui justement vient de disparaitre des organigrammes de la maison. Arrivé sous les vivats en 2002 après s'être créé une réputation flatteuse au sein du groupe Fiat, c'est sous son règne que l'on vit l'hélice se coller au nez de la petite R1, où elle ne se fit pas trop remarquer, puis avec beaucoup moins de succès sur l'Impreza et donc le B9 Tribeca, dont le nom curieux et le manque de grâce n'ont pas convaincu grand monde.
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que Subaru se rate: l'Impreza de 2001 avait dû passer rapidement sur le billard elle aussi afin de corriger un regard de batracien que tous les ailerons, les roues dorées et l'efficacité diabolique ne pouvaient racheter. Plutôt que l'hélice maudite, c'est peut-être le processus de validation du design qu'il faudrait revoir...
Si vous faites partie des (nombreux) détracteurs de la calandre identitaire de Subaru, sonnez cloches, résonnez trompettes: après deux ans à supporter regards consternés et fous-rires étouffés, les décideurs du constructeur japonais ont choisi de mettre en veilleuse le nez controversé qui fit si faible impression sur l'Impreza et surtout sur le très laid Tribeca, au profit de... on ne sait pas encore quoi d'ailleurs. Mais l'hélice stylisée, sensée rappeller les origines avionneuses de Fuji Heavy Industries, passe à la trappe. C'est le porte-parole de Subaru Australie qui l'avoue, à propos des nouvelles moutures du Liberty et de l'Outback à venir, en essayant comme dans ces cas là de faire bonne figure: tout cela était bien entendu prévu de longue date, l'idée reste d'actualite mais peut prendre de multiples formes, etc. Le résultat est là : l'étrange calandre en trois parties est au rebut, et la victime expiatoire est le designer grec Andreas Zapatinas qui justement vient de disparaitre des organigrammes de la maison. Arrivé sous les vivats en 2002 après s'être créé une réputation flatteuse au sein du groupe Fiat, c'est sous son règne que l'on vit l'hélice se coller au nez de la petite R1, où elle ne se fit pas trop remarquer, puis avec beaucoup moins de succès sur l'Impreza et donc le B9 Tribeca, dont le nom curieux et le manque de grâce n'ont pas convaincu grand monde.