Personne ne semble pouvoir arrêter lascension de la, pour le moins surprenante, marque Spyker. Après des début modestes (48 voitures produites en 2005 et un previsionnel dune centaine de voitures en 2006) le chiffre daffaire se compte déjà en millions de $. La société compte encore des pertes à son bilan mais les courbes flatteuses attirent déjà les investisseurs en masse. Spyker vend 40% de ses voitures aux US, 27% en Europe et seulement 14% au Moyen Orient et en Chine, qui representent les nouveaux marchés de la F1 dont Bernie Ecclestone est si friand.
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Les Capital Risqueurs de ces coins du monde sont déjàsur les starting blocks avec entre autres MerchantBridge qui a fait en septembre dernier lacquisition de 15% de la societé suivit de Mubadala Investments (qui appartient au gouvernement dAbu Dhabi déténteur de 5% de Ferrari) avec 17% en fin 2005. Il semblerait bien selon grandprix.com, que pour penétrer ces marchés, Spyker soit prêt à vendre quelques actions de plus pour se payer le luxe, excusez du peu, dune écurie de F1 telle que Midland F1. Victor Muller, Chairman de Spyker, confirme que la F1 est dautant plus interessante depuis lavènement des règles de 2008, plus de droits télévisés pour les écuries et la possibilité dacheter voitures et moteurs.
Avec une telle ascension, on ne devrait pas tarder à les retrouver sur le podium, à moins bien sur, que la F1 soit une toute autre affaire comme on pu le constater à leurs dépens nombre de constructeurs fortunés.
Personne ne semble pouvoir arrêter lascension de la, pour le moins surprenante, marque Spyker. Après des début modestes (48 voitures produites en 2005 et un previsionnel dune centaine de voitures en 2006) le chiffre daffaire se compte déjà en millions de $. La société compte encore des pertes à son bilan mais les courbes flatteuses attirent déjà les investisseurs en masse. Spyker vend 40% de ses voitures aux US, 27% en Europe et seulement 14% au Moyen Orient et en Chine, qui representent les nouveaux marchés de la F1 dont Bernie Ecclestone est si friand.