Appelez ça le Fighting Spirit. Tout frais auréolé de ses records à répétition avec le cigare à mazout le plus rapide du monde, Sir Anthony Bamford (photo), le très british président de JCB vient de se déclarer publiquement candidat au rachat de Jaguar. Et avec quel panache: alors que Ford pense être obligé de faire un lot avec Land Rover, qui pète la forme, pour pouvoir se décharger du patraque félin, l'homme aux bulldozers jaunes se dit uniquement intéressé par Jaguar.
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Appelez ça le Fighting Spirit. Tout frais auréolé de ses records à répétition avec le cigare à mazout le plus rapide du monde, Sir Anthony Bamford (photo), le très british président de JCB vient de se déclarer publiquement candidat au rachat de Jaguar. Et avec quel panache: alors que Ford pense être obligé de faire un lot avec Land Rover, qui pète la forme, pour pouvoir se décharger du patraque félin, l'homme aux bulldozers jaunes se dit uniquement intéressé par Jaguar.
Son raisonnement, basé sur le succès du mode de fonctionnement de son entreprise familiale, est que Jaguar doit redevenir petit, et fidèle à ses traditions: out la X-Type, in la F-Type, petit roadster qui n'a malheureusement dépassé le stade du concept, et retour en piste, milieu naturel et obligatoire à la préservation de l'identité de la marque fondée par William Lyons, par ailleurs bon ami du père de Sir Bamford. Et on a tendance à le croire, étant donné que l'homme passe une bonne partie de son temps libre au volant de bolides essentiels, Ferrari 250 GTO ou Jaguar D Type, au hasard.
Quelle est la part de ces belles paroles due à l'euphorie du record de vitesse, l'histoire ne le dit pas. Mais on a entendu de pires professions de foi. Je vote Bamford.
Appelez ça le Fighting Spirit. Tout frais auréolé de ses records à répétition avec le cigare à mazout le plus rapide du monde, Sir Anthony Bamford (photo), le très british président de JCB vient de se déclarer publiquement candidat au rachat de Jaguar. Et avec quel panache: alors que Ford pense être obligé de faire un lot avec Land Rover, qui pète la forme, pour pouvoir se décharger du patraque félin, l'homme aux bulldozers jaunes se dit uniquement intéressé par Jaguar.