S'il est logique que les constructeurs japonais, pays totalement dépendant pour son approvisionnement en pétrole, mettent le paquet sur les hybrides, la surprise est totale quand c'est Iran Khodro, qui annonce faire de même. Mais c'est bien le sens de la déclaration faite par le constructeur iranien, qui annonce la production de 100.000 hybrides "light" par an, le terme restant tout de même à définir, pour son marché local. Il s'agit de la quote part de Iran Khodro dans le cadre d'une directive gouvernementale qui oblige l'industrie automobile à produire 280.000 véhicules de ce type par an.
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S'il est logique que les constructeurs japonais, pays totalement dépendant pour son approvisionnement en pétrole, mettent le paquet sur les hybrides, la surprise est totale quand c'est Iran Khodro, qui annonce faire de même. Mais c'est bien le sens de la déclaration faite par le constructeur iranien, qui annonce la production de 100.000 hybrides "light" par an, le terme restant tout de même à définir, pour son marché local. Il s'agit de la quote part de Iran Khodro dans le cadre d'une directive gouvernementale qui oblige l'industrie automobile à produire 280.000 véhicules de ce type par an.
Etant donné que l'annonce a été faite par le responsable du département bicarburation, s'agirait-il en fait de véhicules essence/gaz naturel (si l'un de nos commentateurs bien informés en sait plus, qu'il n'hésite pas à me reprendre) ? Dans tous les cas, il est intéressant de constater qu'un des plus gros pays producteurs de pétrole prenne des mesures de ce type. Alors, les premières Peugeot "hybrides" produites (Iran Khodro construit des 206 avec ou sans coffre et des 405, à découvrir sur le site, plutôt bien fait) viendront-elles d'Iran ?
S'il est logique que les constructeurs japonais, pays totalement dépendant pour son approvisionnement en pétrole, mettent le paquet sur les hybrides, la surprise est totale quand c'est Iran Khodro, qui annonce faire de même. Mais c'est bien le sens de la déclaration faite par le constructeur iranien, qui annonce la production de 100.000 hybrides "light" par an, le terme restant tout de même à définir, pour son marché local. Il s'agit de la quote part de Iran Khodro dans le cadre d'une directive gouvernementale qui oblige l'industrie automobile à produire 280.000 véhicules de ce type par an.
