On craignait le pire pour le géant Américain, qui voit Toyota se rapprocher de lui à grands pas. Plombé par les retraites pharamineuses qu'il doit verser, le groupe General Motors redresse enfin un peu la tête. Certes, sa perte atteint 3,2 milliards de dollars sur le deuxième trimestre, mais cela est dû à un évènement exceptionnel : le coût de sa restructuration, 4,3 milliards, pour financer le départ de 34000 ouvriers aux USA . En dehors de ce fait, GM dégage un bénéfice de 1,2 milliard de dollars (231 millions de pertes l'an dernier à la même période), tandis que son chiffre d'affaire progresse de 12%, à 54,4 milliards. Pour la première fois depuis 2004, la branche automobile est bénéficiaire aux Etats-Unis (grâce aux réductions des coûts de production), tandis que le bénéfice en Europe quadruple (de 30 à 124 millions). Cela dit, la part de marché mondiale chute à 13,8 % Rick Wagoner, le PDG du groupe, se félicite de "cette accélération du redressement", en précisant que ça n'affectait pas les discussions avec Renault-Nissan...
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On craignait le pire pour le géant Américain, qui voit Toyota se rapprocher de lui à grands pas. Plombé par les retraites pharamineuses qu'il doit verser, le groupe General Motors redresse enfin un peu la tête. Certes, sa perte atteint 3,2 milliards de dollars sur le deuxième trimestre, mais cela est dû à un évènement exceptionnel : le coût de sa restructuration, 4,3 milliards, pour financer le départ de 34000 ouvriers aux USA . En dehors de ce fait, GM dégage un bénéfice de 1,2 milliard de dollars (231 millions de pertes l'an dernier à la même période), tandis que son chiffre d'affaire progresse de 12%, à 54,4 milliards. Pour la première fois depuis 2004, la branche automobile est bénéficiaire aux Etats-Unis (grâce aux réductions des coûts de production), tandis que le bénéfice en Europe quadruple (de 30 à 124 millions). Cela dit, la part de marché mondiale chute à 13,8 % Rick Wagoner, le PDG du groupe, se félicite de "cette accélération du redressement", en précisant que ça n'affectait pas les discussions avec Renault-Nissan...
On craignait le pire pour le géant Américain, qui voit Toyota se rapprocher de lui à grands pas. Plombé par les retraites pharamineuses qu'il doit verser, le groupe General Motors redresse enfin un peu la tête. Certes, sa perte atteint 3,2 milliards de dollars sur le deuxième trimestre, mais cela est dû à un évènement exceptionnel : le coût de sa restructuration, 4,3 milliards, pour financer le départ de 34000 ouvriers aux USA . En dehors de ce fait, GM dégage un bénéfice de 1,2 milliard de dollars (231 millions de pertes l'an dernier à la même période), tandis que son chiffre d'affaire progresse de 12%, à 54,4 milliards. Pour la première fois depuis 2004, la branche automobile est bénéficiaire aux Etats-Unis (grâce aux réductions des coûts de production), tandis que le bénéfice en Europe quadruple (de 30 à 124 millions). Cela dit, la part de marché mondiale chute à 13,8 % Rick Wagoner, le PDG du groupe, se félicite de "cette accélération du redressement", en précisant que ça n'affectait pas les discussions avec Renault-Nissan...