par La rédaction

La CGT assigne PSA Peugeot-Citroën

Le groupe PSA abuse-t-il des ouvriers intérimaires ? C'est la question à laquelle le tribunal de grande instance de Versailles devra répondre dans les prochains jours à la demande de la CGT. En effet, le syndicat reproche au constructeur français de considérer le lancement d'un nouveau modèle comme un surcroît d'activité, condition légale autorisant le recours à l'interim, alors que pour lui il s'agit tout simplement de la marche normale d'une entreprise concurrentielle.

Zapping Le Blogauto Essai Citroën e-C4X de 136ch

Le groupe PSA abuse-t-il des ouvriers intérimaires ? C'est la question à laquelle le tribunal de grande instance de Versailles devra répondre dans les prochains jours à la demande de la CGT. En effet, le syndicat reproche au constructeur français de considérer le lancement d'un nouveau modèle comme un surcroît d'activité, condition légale autorisant le recours à l'interim, alors que pour lui il s'agit tout simplement de la marche normale d'une entreprise concurrentielle.

L'enjeu de cette assignation est que l'entreprise ne reconnaisse plus la sortie d'une nouvelle gamme comme un "accroissement temporaire d'activité" et qu'elle procède à l'embauche massive d'ouvriers aujourd'hui en état de précarité.

PSA a déjà été condamné par le passé pour ce motif mais selon la CGT le versement des dommages et intérêts en cas de condamnation est budgetisé par l'entreprise. De son côté l'avocate du groupe brandit la menace de la délocalisation: "Si sa demande était satisfaite, on pourra dire que la CGT aura eu sa responsabilité dans une politique de délocalisation".

Source: Libération

Vous cherchez un véhicule d'occasion ?

Retrouvez des milliers d’annonces sélectionnées pour vous aider à trouver le bon véhicule d’occasion.
Podcast Men Life
 

Pour résumer

Le groupe PSA abuse-t-il des ouvriers intérimaires ? C'est la question à laquelle le tribunal de grande instance de Versailles devra répondre dans les prochains jours à la demande de la CGT. En effet, le syndicat reproche au constructeur français de considérer le lancement d'un nouveau modèle comme un surcroît d'activité, condition légale autorisant le recours à l'interim, alors que pour lui il s'agit tout simplement de la marche normale d'une entreprise concurrentielle.

La rédaction
Rédacteur
La rédaction

La quotidienne

Retrouvez tous les soirs une sélection d'articles dans votre boite mail.