La F1 d'aujourd'hui est devenue très aseptisée et très élitiste, cela personne ne le conteste. Pour le spectateur lambda, approcher de près (et même de loin) un pilote dans le cadre d'un Grand Prix est devenu mission quasiment impossible.
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La F1 d'aujourd'hui est devenue très aseptisée et très élitiste, cela personne ne le conteste. Pour le spectateur lambda, approcher de près (et même de loin) un pilote dans le cadre d'un Grand Prix est devenu mission quasiment impossible.
On ne peut donc que remercier les écuries Toyota, Red Bull, Toro Rosso et BMW d'avoir organisé à Magny-Cours de petites rencontres entre le public et quelques-uns de leurs pilotes. L'occasion pour les fans de tenter, dans la cohue, de faire dédicacer les photos distribuées à la volée par les écuries.
Chez Toyota, Olivier Panis et Jarno Trulli ont, tour à tour, pris la parole depuis le podium de leur équipe et donné leurs impressions sur les essais et la course à venir.
Même chose chez BMW avec Robert Kubica, le prometteur pilote d'essais et un Jacques Villeneuve hilare en évoquant sa qualification ratée. La retraite n'est peut-être plus très loin pour le canadien.
Les "Taureaux rouges" avaient, quant à eux, organisé une vraie séance de dédicace avec Scott Speed et Robert Doornbos. Il est vrai que c'est plus facile avec des pilotes quasi-inconnus.
Enfin, pour les nostalgiques des années 70-80, il était possible de croiser le toujours très populaire René Arnoux et l'ex-pilote Ligier (entre autre) Philippe Alliot dans le stand mis en place par la FFSA pour commémorer le Grand Prix du centenaire.
La F1 d'aujourd'hui est devenue très aseptisée et très élitiste, cela personne ne le conteste. Pour le spectateur lambda, approcher de près (et même de loin) un pilote dans le cadre d'un Grand Prix est devenu mission quasiment impossible.