par Pierre-Laurent Ribault

LE MANS: Pesca boit un Bouillon

Parfois, le déroulement d'une carrière, ça ne tient pas à grand chose. On peut prendre des risques certains tout au long de son métier de pilote et n'avoir jamais la moindre égratignure, puis, à côté, on peut bêtement se blesser en effectuant l'acte de la vie quotidienne le plus banal.

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Parfois, le déroulement d'une carrière, ça ne tient pas à grand chose. On peut prendre des risques certains tout au long de son métier de pilote et n'avoir jamais la moindre égratignure, puis, à côté, on peut bêtement se blesser en effectuant l'acte de la vie quotidienne le plus banal.

C'est ce qui vient d'arriver à Jean Christophe BOUILLON qui se voit dans l'obligation de déclarer forfait pour les prochaines 24H00 du MANS. Il abandonne ainsi, malgrè lui, le baquet de la PESCA, qu'il devait partager avec COLLARD et COMAS. En voici les raisons...    

Jean Christophe BOUILLON s'est cassé le poignet en tombant d'un escabeau qu'il avait gravi pour installer une tringle à rideaux. Et cette version officielle ne serait même pas un alibi masquant une activité sportive intense déconseillée; d'après le grand Henri PESCAROLO, lui même, ce serait bien la vérité vraie.

PESCA n'apprécie cependant pas cet incroyable rebondissement, même s'il se déclare qu'à moitié surpris, son pilote étant tout ce qu'il y a de plus maladroit, paraît-il.

Reste à le remplacer. TINSEAU ou COCHET ont été cités, mais c'est surtout Christophe BOUCHUT qui tient la corde pour ce faire. A condition qu'il sache rapidement s'intègrer à l'équipe et entrer en osmose avec ses compagnons. Car le personnage aurait un caractère bien trempé.

SOURCE: L'Equipe.

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Pour résumer

Parfois, le déroulement d'une carrière, ça ne tient pas à grand chose. On peut prendre des risques certains tout au long de son métier de pilote et n'avoir jamais la moindre égratignure, puis, à côté, on peut bêtement se blesser en effectuant l'acte de la vie quotidienne le plus banal.

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