Nous vous avions déjà entretenu des vélléités "réanimatoires" de la société Carl qui avec l'aide de l'entreprise Technicon Design souhaitait faire revivre la marque disparue Amilcar. Si l'apparente bonne finition de l'engin laisse supposer un savoir-faire certain, on se demande comment une telle entreprise sera viable dans notre beau pays autophobe et ultra administratif. Pour l'instant soyons heureux simplement du désir déjà assez poussé de quelques idéalistes automobiles qui nous donnent à admirer un objet aux caractéristiques gouleyantes. Le reste n'appartient plus au rêve.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Nous vous avions déjà entretenu des vélléités "réanimatoires" de la société Carl qui avec l'aide de l'entreprise Technicon Design souhaitait faire revivre la marque disparue Amilcar. Si l'apparente bonne finition de l'engin laisse supposer un savoir-faire certain, on se demande comment une telle entreprise sera viable dans notre beau pays autophobe et ultra administratif. Pour l'instant soyons heureux simplement du désir déjà assez poussé de quelques idéalistes automobiles qui nous donnent à admirer un objet aux caractéristiques gouleyantes. Le reste n'appartient plus au rêve.
La présentation du bébé a eu lieu sous les caméras de FR3 Normandie puisque la société Carl qui construit l'engin est basée à Alençon. La vidéo du reportage est disponible en cliquant ici.
Ce roadster biplace dans la lignée esthétique d'un Plymouth Prowler est en fait plus proche de la philosophie Chapmanienne puisque l'engin propose 250ch pour un poids de 650 kg. Les sensations s'annoncent plus proches de celles prodiguées par une Caterham ou une Lotus Elise 1ere génération que du mastodonte américain singeant les hot-rods des fifties.
Si la "spec sheet" pourra mettre en appétit les amateurs de pilotage, on ne peut pas dire que les amilcaristes purs et durs seront renversés de bonheur à la vue d'une auto qui n'a d'Amilcar que le badge. Mais admettons aussi qu'il est bien difficile de savoir à quoi pourrait ressembler une auto dont la marque s'est éteinte voici un demi-siècle. Les adorateurs des engins de cette époque ne seront jamais convaincus par un quelconque projet moderne. Question de génération.
La présentation officielle sera faite en Septembre lors du Mondial de Paris.
Un très grand merci au trio de lecteurs avisés, Mémo, Poubelovitch et Laurent pour avoir suivi l'affaire d'aussi près.
Nous vous avions déjà entretenu des vélléités "réanimatoires" de la société Carl qui avec l'aide de l'entreprise Technicon Design souhaitait faire revivre la marque disparue Amilcar. Si l'apparente bonne finition de l'engin laisse supposer un savoir-faire certain, on se demande comment une telle entreprise sera viable dans notre beau pays autophobe et ultra administratif. Pour l'instant soyons heureux simplement du désir déjà assez poussé de quelques idéalistes automobiles qui nous donnent à admirer un objet aux caractéristiques gouleyantes. Le reste n'appartient plus au rêve.