Renault planifie depuis les débuts de la Logan une multiplication des sites de production dans des pays à faible coût de main d'oeuvre. D'abord Roumanie, puis Maroc, Russie, Amérique du Sud et également Iran. L'accord signé il y a déjà quelques temps vient d'être purement et simplement remis en cause par le gouvernement iranien qui veut désormais plus. L'application du contrat est donc remis en question unilatéralement tant que le constructeur français ne répondra pas favorablement aux nouvelles revendications de l'Iran.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Renault planifie depuis les débuts de la Logan une multiplication des sites de production dans des pays à faible coût de main d'oeuvre. D'abord Roumanie, puis Maroc, Russie, Amérique du Sud et également Iran. L'accord signé il y a déjà quelques temps vient d'être purement et simplement remis en cause par le gouvernement iranien qui veut désormais plus. L'application du contrat est donc remis en question unilatéralement tant que le constructeur français ne répondra pas favorablement aux nouvelles revendications de l'Iran.
En fait, le gouvernement iranien souhaite pourvoir exporter une part de la production de Logan (20%) vers les marchés traditionnels européens de Renault. Sans cela, ils n'accepteront pas de les fabriquer.
Ce "chantage" bloque Renault qui doit faire face à une demande croissante de Dacia Logan et la production de 300.000 voitures par an prévue en Iran ne va pas tarder à manquer. Le début des livraisons devait débuter en Mai prochain.
Renault qui ne peut se permettre trop de rigidité est donc contraint de reprendre les négociations avec Iran Khodro et Pars Khodro, les 2 prestataires sous autorité de l'état iranien.
Renault planifie depuis les débuts de la Logan une multiplication des sites de production dans des pays à faible coût de main d'oeuvre. D'abord Roumanie, puis Maroc, Russie, Amérique du Sud et également Iran. L'accord signé il y a déjà quelques temps vient d'être purement et simplement remis en cause par le gouvernement iranien qui veut désormais plus. L'application du contrat est donc remis en question unilatéralement tant que le constructeur français ne répondra pas favorablement aux nouvelles revendications de l'Iran.