Dès qu'il fut question de produire la charmante Fiat Trepiuno, interprétation moderne de la mythique Fiat 500, le nom d'Abarth a commencé à resurgir au gré des rumeurs. Il faut dire que les démons créés sur la base des petites Fiat par Monsieur Carlo dans les années soixante, pour qui a eu la chance d'en voir, impriment un souvenir indélébile: la 695SS à l'assaut du chronomètre, les roues de kart dépassant des ailes et le capot arrière relevé pour ventiler le petit moteur préparé à mort qui hurle comme un derviche dément, le spectacle est inoubliable.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Dès qu'il fut question de produire la charmante Fiat Trepiuno, interprétation moderne de la mythique Fiat 500, le nom d'Abarth a commencé à resurgir au gré des rumeurs. Il faut dire que les démons créés sur la base des petites Fiat par Monsieur Carlo dans les années soixante, pour qui a eu la chance d'en voir, impriment un souvenir indélébile: la 695SS à l'assaut du chronomètre, les roues de kart dépassant des ailes et le capot arrière relevé pour ventiler le petit moteur préparé à mort qui hurle comme un derviche dément, le spectacle est inoubliable.
Alors la Trepiuno Abarth s'impose. Nos amis d'Autoblog.it pronostiquent le moteur 1,4 litre Fire Turbo de 150 chevaux, ce qui allié à un poids plume (on l'espère) serait explosif. Pour l'instant on se contentera d'en rêver, avant que de plus amples informations ne fassent surface.
A quoi ressemblera-t-elle ? Pas d'indice pour l'instant, mais c'est l'occasion de présenter une interprétation possible par un designer doté d'un joli coup de crayon, Stefano Moraschini, qui va jusqu'à entrouvrir le coffre, qui ne contient cette fois que des bagages, en souvenir des vapeurs de l'ancêtre. Joli travail et grazie mille, Stefano.
Dès qu'il fut question de produire la charmante Fiat Trepiuno, interprétation moderne de la mythique Fiat 500, le nom d'Abarth a commencé à resurgir au gré des rumeurs. Il faut dire que les démons créés sur la base des petites Fiat par Monsieur Carlo dans les années soixante, pour qui a eu la chance d'en voir, impriment un souvenir indélébile: la 695SS à l'assaut du chronomètre, les roues de kart dépassant des ailes et le capot arrière relevé pour ventiler le petit moteur préparé à mort qui hurle comme un derviche dément, le spectacle est inoubliable.