Le retour sur l'asphalte ibérique du championnat du monde des rallyes promettait beaucoup en sensation et en spectacle. En fait, tout s'est effectivement bien engagé, avec une lutte de tous les instants entre CITROEN et FORD, entre GRONHOLM et LOEB d'une part et HIRVONEN et SORDO d'autre part. Une bataille dont l'intensité n'avait d'égale que la vélocité d'une FOCUS particulièrement affûtée.
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Le retour sur l'asphalte ibérique du championnat du monde des rallyes promettait beaucoup en sensation et en spectacle. En fait, tout s'est effectivement bien engagé, avec une lutte de tous les instants entre CITROEN et FORD, entre GRONHOLM et LOEB d'une part et HIRVONEN et SORDO d'autre part. Une bataille dont l'intensité n'avait d'égale que la vélocité d'une FOCUS particulièrement affûtée.
Las ! A la deuxième spéciale, Jörg BASTUK, équipier d'Aaron BURKART, binôme qui évoluait en JWRC à bord d'une C2 se voyait faucher par un autre concurrent en pleine épreuve alors qu'il tentait de changer une roue.
Terrible péripétie d'un rallye qui battait son plein, avant que les FORD perdent presque simultanément l'usage de leur turbo...
La cinquième ES aura donc enterré tous les espoirs de l'ovale bleu. GRONHOLM, alors leader, et HIRVONEN, virtuellement sur le podium, étaient contraints de desserrer l'étau dans lequel ils avaient enferré LOEB. SORDO, s'engouffrait aussitôt dans la brèche si bien qu'à la fin de cette première étape, ce sont trois XSARA qui occupent les premiers rangs, PONS jouant le troisième larron.
SOLBERG suit tant bien que mal avec des PIRELLI peu en forme, tandis que BENGUE et sa 307 occupe une convaincante cinquième position. KOPECKY fait honneur à la FABIA, se montrant, et de loin, meilleur que ses aînés DUVAL (dixième) et PANIZZI sombre et anonyme quinzième.
SARRAZIN est septième alors que les espoirs tricolores en JWRC reposent sur PRESSAC, second derrière PROKOP, tous deux sur C2. TIRABASSI n'est pas dans le rythme, neuvième et déjà relégué à plus de quatre minutes de la tête.
Voilà la voie royale ouverte à l'alsacien pour dérouler jusqu'à la fin du rallye. Il faudra néanmoins rester concentrer et retenir, pour l'avenir, que malgré ses soucis, la FOCUS est décidément bien née... Pour toutes les surfaces...
Le retour sur l'asphalte ibérique du championnat du monde des rallyes promettait beaucoup en sensation et en spectacle. En fait, tout s'est effectivement bien engagé, avec une lutte de tous les instants entre CITROEN et FORD, entre GRONHOLM et LOEB d'une part et HIRVONEN et SORDO d'autre part. Une bataille dont l'intensité n'avait d'égale que la vélocité d'une FOCUS particulièrement affûtée.